1. Ma belle-soeur et moi


    Datte: 23/11/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Le Matou libertin, Source: Hds

    ... bander illico ! Dès qu’elle n’a plus porté que son string, Odile s’est approchée de moi, s’est agenouillée entre mes cuisses et d’une main habile, elle est allée cueillir mon sexe dans mon boxer. Elle l’a flatté quelques instants de ses mains puis elle fait glisser mon jean et mon boxer et les a ôtés prestement. Dans le même temps mon polo a volé par-dessus tête, si bien que du côté vêtement, nous étions presque à égalité…
    
    Odile a avalé ma queue le plus profond qu’elle pouvait et après l’avoir copieusement enduite de salive, elle a entamé une série d’aller-retour qui a vite fait de me faire durcir ! Mais je l’ai laissée faire : je savais ce qu’elle voulait et la nuit ne faisait que commencer… Je me suis penché vers elle et d’une main je caressai ses cheveux et de l’autre, je palpai successivement ses beaux seins… La fellation qu’elle me donnait était véritablement un délice : Odile alternait les gorges profondes, les succions des lèvres ou plus sur le gland, un massage en douceur des bourses du bout de la langue et je sentais que je ne tarderais pas à me répandre… Je le lui dis :
    
    • Attention, je vais partir !
    
    • Oui ! Vas-y ! Tu sais que j’ai envie de te déguster !
    
    Quelques aller-retour et je me lâchai dans un râle puissant tant c’était bon de gicler ainsi dans une bouche accueillante ! Cette coquine a ouvert la bouche pour me monter le sperme qui la maculait puis elle a dégluti le tout en disant :
    
    • Waouh ! Qu’est-ce que c’est bon ! Depuis Nantes, je ...
    ... n’avais plus goûté à ce nectar !
    
    Odile se mit ensuite à califourchon sur mes cuisses. Je sentais mon membre se dresser entre nous tout contre sa toison et nous nous embrassions à en perdre de souffle. Mais Odile, si elle avait recueilli mon nectar, elle n’avait pas encore eu de jouissance… Elle dit alors :
    
    • Viens dans ma chambre, nous serons mieux dans un lit !
    
    • OK ! Ça marche !
    
    Nous sommes retrouvés cette chambre où quinze jours plus tôt nous avions fini notre première nuit dans les bras l’un de l’autre après avoir baisé sur le divan du séjour… J’allongeai Odile en travers du lit et je me suis précipité entre ses cuisses pour un cunnilingus et là, j’ai découvert qu’elle était littéralement inondée de mouille. Je lapais comme un chien ce liquide qui s’échappait non sans aller agacer son bourgeon d’amour qui pointait comme une phalange dressée. Odile se tortillait dans tous les sens sous ma caresse buccale et elle jouit une première fois.
    
    De mon côté, je bandais à nouveau, la queue dressée, prête à partir pour un nouvel assaut ! Dès que je me suis relevé, Odile m’a tendu les bras et ouvert ses cuisses :
    
    • Viens, ne te couvre pas, en ce moment, on peut baiser tranquillement !
    
    • D’accord, ça n’en sera que meilleur !
    
    Je l’ai fait languir un peu en jouant de mon sexe au bord du sien, ouvrant ses lèvres intimes gorgées de sang et de cyprine avec le gland, le pointant à l’orée de son vagin, repartant dans sa toison pour finir par éperonner vivement ce sexe qui ...
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