Ma femme se donne devant moi - Histoires de Sexe

Ma femme se donne devant moi

... reviens, il faudra que tu abandonnes ta pudeur encore plus.
— J’essaierai.

Je sens que l’accouplement est proche. Christophe a le sexe érigé, il se place à genoux derrière mon épouse, lui prend les hanches. Il se met à l’entrée du vagin et doucement il la pénètre en gémissant. Puis il commence ses va-et-vient, vigoureusement, le corps d’Annie est secoué, des cris étouffés sortent de sa bouche. Il place son torse sur son dos, s’agrippe à ses épaules pour certainement faire corps totalement avec elle, la sentir au plus près. Il accélère, et d’un seul coup ma femme crie, sa jouissance éclate et Christophe pousse un râle bestial. L’acte est consommé, il a souillé devant mes yeux mon épouse de son sperme.

— J’ai profité du corps de ta femme, je recommencerai si tu le veux.
— Oui je veux bien, si elle le souhaite.
— Bien sûr.

Annie et Christophe avaient pris rendez-vous quelques jours plus tard. Voici le mail que Christophe m’a envoyé après leur rencontre.

« Annie est venue dans mon cabinet vers 18h30, pour ma dernière visite. Elle n’était plus une épouse, une mère. Elle était une femme, une amante. J’ai, sans vulgarité, avec douceur et tact, abusé d’elle, sans retenue. Je ne sais pas si elle manifeste bruyamment sa jouissance avec toi, mais là, elle l’a fait.

Comme la dernière fois, après l’avoir mis à l’aise, je l’ai de nouveau troussée. J’aime toujours ce moment où une femme se découvre. Elle a exécuté les gestes que je lui demandais pour se déshabiller. ...

... Je lui ai demandé de baisser sa culotte jusqu’au genoux. Je l’ai laissée quelques instants comme cela pour l’admirer, mais aussi tester mon ascendant sur elle.

Et je l’ai embrassée, ma langue l’a pénétrée, a tourné dans sa bouche. Elle est douée pour cela. En serait-elle privée ? Elle m’a aidé à me dévêtir complètement.

Nous nous sommes frottés, mon sexe a durci et a été à la rencontre du sien totalement libéré de sa culotte. J’ai senti sa toison. C’est bon de profiter des charmes d’une femme qui n’est pas la sienne.

Délicatement, je l’ai faite s’allonger sur ma table d’auscultation, sa tête légèrement en dehors. Ainsi, j’ai pu passer ma verge sur son visage, je l’ai faite glisser lentement sur ses lèvres entrouvertes alors que je lui demandais de se toucher légèrement pour entretenir son désir. Et j’ai plongé dans sa gorge. Quel plaisir, quelle douceur de profiter d’elle. Elle gémissait, m’indiquant qu’elle appréciait.

Je suis passé à son sexe, gonflé, béant. Je l’ai masturbée fermement. Elle a haleté, s’est crispée et a lâché une première jouissance.

Je lui ai dit alors, après un moment de repos, que j’allais la pénétrer, profiter de son vagin, pour jouir à mon tour.

J’ai tapoté son sexe et me suis introduit en elle. Elle a marqué cette pénétration par un long souffle. J’aime ce moment où la femme se donne, elle sait alors qu’elle appartient à l’homme. Debout, je l’ai prise aux hanches et commencé des va-et-vient puissants pour m’enfoncer le plus loin ...