Le Placard (2)
Datte: 23/11/2018,
Catégories:
alliance,
amour,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
fsodo,
extraconj,
Auteur: Tanis, Source: Revebebe
... carillonner sa hampe entre les cuisses entrouvertes de sa belle-sœur. Son battant heurtait la peau chaude, y déposant des petites gouttes de liqueur que le méat de sa verge commençait à produire. Il n’arrivait pas à détacher ses yeux de la raie humide où s’épanouissait l’œillet brun. C’était si petit, et la taille de son gland l’inquiétait. Pourtant hier Éric l’avait pénétrée sans difficulté. Laurie soufflait, mains crispées sur la table d’harmonie, elle attendait le choc, la pénétration interdite dans son fondement. Elle aimait ce côté interdit, se sentir forcée dans les reins, puis suivre la progression du sexe jusqu’à l’intrusion complète. Elle avait vu la verge de Daniel, plus grosse que celle de son mari. Ça rentrerait… elle se dit que cela devrait entrer.
Daniel posa son gland sur l’anus exigu, et prudemment accentua la pression. Laurie se crispa, poussant son derrière à la rencontre de l’intrus. Elle se sentit dilatée, épanouie, elle sentit que sa corolle s’ouvrait sans douleur et elle ouvrit la bouche. Daniel se sentit étranglé, les muscles se resserraient autour de son gland à lui faire mal, alors d’une poussée, il enfonça la tête de sa verge au travers de cette barrière musculeuse. Le piano fit un bon en-avant, protestant dans une gerbe de notes affolées. Laurie n’avait jamais ressenti cette formidable impression. Son anus serré à la limite de la rupture avait accepté la queue de son beau-frère. Serrant une poignée de cordes, elle suivit l’incursion de l’épaisse ...
... mailloche qui glissait tout en « legato », écartelant les chairs de ses reins inexorablement.
Daniel suivait avec jubilation son parcours dans le rectum dilaté de Laurie. Les fesses serrées collaient à sa verge, lui dissimulant l’anus dans lequel il s’enfouissait. Laurie gémit quand il posa ses mains sur ses hanches, elle savait maintenant qu’en quelques poussées, elle serait pleine. Elle s’étira, préparant la percée finale. Elle cria sourdement quand, dans un coup de reins terminal, Daniel l’engorgea jusqu’aux couilles. Pleine, elle était pleine, remplie à ras bord. Les bourses chaudes se collèrent à sa vulve, fouettant les lèvres de petites gifles cuisantes. Elle voulut le retenir, et serra les fesses quand il ressortit. Daniel cria sous la redoutable pression de ses muscles. Alors comme pour la punir, il la réinvestit d’un élan, s’engouffrant une fois encore dans la grotte sombre. Alors naquit un jeu entre eux, fait de contrepoints et de discordances. Elle jouait en 3 temps, et lui s’accordait un rythme de 2 temps. Les contretemps se succédaient, elle poussait et se rétractait pendant que lui poussait encore. Il naquit dans leurs corps un rythme fou, désorganisé qui doucement monta vers la finale, la coda. Le piano suivait tant bien que mal cette succession de tempi différents, renâclait, s’insurgeait, protestait en ronchonnant dans le roulement de ses marteaux feutrés. Parfois les gémissements montaient d’une octave, ponctués de petits cris, d’autres fois c’étaient des ...