1. Ma saison au Cap d'Agde. (1)


    Datte: 22/11/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Le Matou libertin, Source: Xstory

    Ma saison au Cap d’Agde.
    
    Lorsqu’en fin d’année à l’école hôtelière, on m’a proposé un contrat de deux mois en juillet et en août au bord de la Méditerranée, je n’ai pas réfléchi très longtemps avant de donner mon accord...
    
    Deux mois de barmaid dans un bar restaurant à Agde... c’était bon à prendre même si les vacanciers ne sont généralement pas très généreux sur les pourboires : j’aurais la mer et le soleil en prime... et le gîte et le couvert le midi et le soir...
    
    Après un trajet en TGV depuis Paris, je débarque en milieu d’après-midi du TER à Agde. Quand je donne au chauffeur du taxi l’adresse où je dois me rendre, celui-ci me regarde d’un air coquin en me disant que j’allais bien m’amuser, qu’une belle « poulette » comme moi n’aurait que l’embarras du choix...
    
    Après un trajet rapide, nous arrivons devant un bel hôtel qui porte le nom curieux d’ « HÔTEL D’EVE »... Je suis tombée en plein dans la partie naturiste d’Agde dont j’ai souvent entendu parler sous le nom du « CAP ». L’essentiel est d’avoir du travail pendant deux mois... les naturistes, ce sont les estivants...
    
    Lorsque je me présente, je suis reçue par le couple de patrons de l’hôtel qui m’indique les horaires de travail et de liberté. Ils me disent aussi de ne pas m’offusquer de la tenue de certains clients et que sans me mettre au diapason, je devrais porter des vêtements sexy que la patronne me remet dès que nous sommes arrivées dans la chambre qui serait la mienne pendant ces deux ...
    ... mois...
    
    Pour s’assurer que les vêtements m’iraient bien, la patronne reste dans la chambre pour voir ce que cela donnait... Il y a deux micro jupes noires en stretch qui, lorsque je baisserais, laisseraient voir mes fesses, un short tout aussi mini dont la coupe mettait en valeur mes petites fesses bien rondes et ma cambrure naturelle. Du côté des soutiens-gorge, je n’étais pas en reste... ils étaient aussi mini que les jupes... Heureusement, je n’avais pas beaucoup de poitrine et mes seins remplissaient à peine les bonnets !
    
    Catherine, la patronne, me dit qu’elle me procurerait des soutifs à ma taille, mais que pour le premier jour, je devrais me contenter de ceux-là ! Puis elle me laissa en me disant de retrouver tout le staff à 18 heures dans la salle du resto. J’étais la dernière à arriver.
    
    Nous sommes une dizaine, presque autant de filles que de garçons à nous retrouver autour d’une table en compagnie des patrons pour un repas rapide... Le service du soir commence vers 19 h 30 et ne se prolonge guère au-delà de 22 heures comme me l’indique ma voisine de table qui est aussi peu vêtue que ce que la patronne m’a donné... Par contre, son soutif est bien rempli et ses seins ont tendance à vouloir s’évader des bonnets !
    
    Le lendemain matin, je suis de service pour le petit-déjeuner en salle... mais il y a relativement peu de monde, car Anna, ma collègue m’indique que la grande majorité des clients de l’hôtel préfèrent le service dans les chambres qu’elle assume cette semaine. Et ...
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