Les fantasmes de Vanessa (1)
Datte: 22/11/2018,
Catégories:
Erotique,
Auteur: Le Matou libertin, Source: Xstory
... mouvements, faisant claquer son ventre contre mes fesses. Je n’aurais jamais cru que c’était si bon de prendre une bite dans son cul ! Au moment où je jouissais pour la seconde fois, Kevin s’est lâché. J’ai senti son sexe prendre encore un peu de volume et cracher de longs jets de sperme qui sont venus s’écraser au fond de la capote.
Quelque temps après nous avons regagné discrètement la salle du banquet et nous nous sommes séparés au petit matin. Depuis cette nuit-là, quand un de mes amants veut me prendre par la porte de service, je ne dis jamais non tant cette prise de possession de mon corps me fait fantasmer par avance.
Aussi agréable soit-il, ce job d’animatrice érotique n’est pas une fin en soi ! C’est l’occasion de me divertir et un prétexte pour me caresser comme le souhaitent les clients. Après des études d’architecte d’intérieur à Paris, je viens enfin de m’établir comme autoentrepreneur avec un associé avec lequel je travaille le matin et le soir. Généralement après 18 heures je vois nos clients chez eux car là, je suis à même de bien appréhender ce qu’ils souhaitent en matière de décoration.
Mais venons-en à cet après-midi et à la réalisation de ce fantasme !
Sous le soleil de la Méditerranée, il est coutumier de faire une sieste en début d’après-midi et je n’échappe pas à la règle d’autant que je vis aussi beaucoup la nuit. Il n’est pas rare que je me couche vers deux heures du matin ou plus encore.
C’est justement au cours de ces siestes que ...
... depuis plusieurs semaines, des rêves récurrents viennent me troubler au point que, de plus en plus, le virtuel me hante au point d’avoir envie qu’il se transforme en réalité.
Depuis qu’il fait à nouveau très chaud sous le soleil du Midi, j’ai repris l’habitude de cette petite sieste réparatrice qui dure généralement une bonne heure. A l’ombre d’un parasol ou des frondaisons des arbres selon le lieu où je me trouve, je m’endors facilement sur la chaise longue bercée par le chant des cigales.
C’est là que mes rêves surviennent, jamais la nuit (ou alors je ne m’en rappelle pas).
Au début, je me souvenais m’être masturbée d’une main alors que l’autre caressait mes seins nus. Plus tard, je me faisais plaisir avec un beau godemichet que je voyais en détail, ressemblant à ceux que je possède... Lorsque le rêve devenait trop fort où que l’heure de repos était passée, je me réveillais avec la sensation que je n’avais pas rêvé, persuadée au bout de quelque temps qu’un inconnu avait versé un quelconque soporifique dans ma boisson et avait profité de mon inconscience pour abuser de moi !
En fait mes rêves étaient tellement forts et prenants que je me retrouvais au réveil avec mes tétons dressés et sensibles et ma chatte humide comme si un sexe l’avait visitée. Avec le temps, je ne m’étonnais plus. Au contraire je savourais cette délicieuse sensation qui mettait mon corps en émoi.
Mais quelques jours, le rêve est devenu réalité.
Comme d’habitude, j’étais allongée sur un ...