1. Campus 1


    Datte: 21/11/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Première fois Inceste / Tabou Auteur: Lauriolan69, Source: xHamster

    ... harmonie avec ce que j’attendais déjà d’elle, mais aussi par la douleur de la sentir attirée par un autre que moi, ce qui était encore plus absurde.
    
    Je voulais effacer cette vision de mon esprit. Mais curieusement, plus ma volonté consciente tendait vers ce but, et plus je revoyais ce visage, comme un flash, avec une précision de plus en plus marquée sur ses détails. Ainsi je revoyais ses beaux cils, mi-roux, mi-blonds, qui s’étaient baissés comme honteusement en même temps qu’ils accompagnaient un sourire à peine esquissé mais si gracieux de sa bouche aux lèvres délicates et sensuelles. J’avais découvert ses joues magnifiques, source pour moi de ravissement, mais aussi de douleur, en les voyant ainsi discrètement changer de couleur. Et puis il y avait son petit nez, légèrement retroussé, parsemé lui aussi de quelques taches de rousseur…
    
    C’est juste au bout de quelques jours, et alors que j’espérais pouvoir me défaire de son image, qu’une nouvelle, encore plus douloureuse, vint se superposer à la première. Je la vis assise sur un banc dans le jardin du campus aux côtés du garçon de l’amphi. C’était en octobre, cette année-là il faisait particulièrement doux. Elle portait un T-shirt blanc qui moulait son jeune corps sans que cela soit impudique, mais qui laissait deviner, outre une taille délicieusement fine, une poitrine plutôt menue mais ferme, et dont le dessin apparent des mamelons laissait imaginer l’absence de sous-vêtement. Outre de fines baskets claires qui ...
    ... habillaient ses pieds menus, elle portait une jupe plissée également blanche, assez courte, qui découvrait de fines cuisses au teint laiteux.
    
    Ils étaient très proches l’un de l’autre, et alors qu’elle avait la tête légèrement penchée en avant, il s’approcha pour l’embrasser sur la bouche. Visiblement surprise, elle esquissa un mouvement brusque en arrière, mais se laissa faire. Ce baiser me paraissait interminable. J’eus juste le temps ensuite d’observer qu’il avait posé sa main sur sa cuisse, et qu’elle l’avait repoussée, gentiment mais fermement. Je me rendis compte que j’étais là en train de les observer, non loin d’eux, et que seule l’attention qu’ils portaient l’un pour l’autre faisait qu’ils ne pouvaient me remarquer. En même temps, je réalisai mon attitude ridicule si un ami me voyait. Je détournai la tête. En un instant je vis que le banc était vide. Je fus pris de panique… et puis je les vis à nouveau, marchant enlacés, sa gracieuse silhouette s’éloignant dans l’allée.
    
    Bien sûr, je la revis souvent, au moins une fois par semaine, dans l’amphi pendant le cours décidément insipide de ce vieux professeur. Son "jules" était toujours près d’elle, si près d’elle… Pendant plusieurs mois je ne pus les voir qu’ensemble… jusqu’à ce jour où je la vis assise seule, toujours dans les premiers rangs. Je n’aurais pas prêté une trop grande attention à cet "événement" si je n’avais vu que le garçon – dont j’ignorais toujours le nom – qui était avec celle que j’avais entendue ...
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