Le mariage de ma meilleure amie - Histoires de Sexe

Le mariage de ma meilleure amie

... dans l'orifice central avec les bras de chaque côté avant de refermer le carcan de bois me rendant définitivement prisonnière. Ils étaient tous deux les derrières moi, passant leur main sur tout mon corps commentant chacun la situation qui ne pouvait appeler de réponse de ma part, toujours restreinte par mon string.

- Quest ce que tu dirais dune bonne fessée avant denlever ta ceinture beauté

- Oui cest vrai tas été très vilaine tout à lheure dans les WC, à tailler des pipes

- Oui tu te comportes comme une petite trainée, à ton âge tas pas honte

La première claque sabattit sur ma croupe, puis la seconde, chacun son tour. Thierry sétait muni dune cravache, et continuait sa tache comme pour le dressage dune pouliche sauvage. Je sentais mes fesses rougir sur les claques, et continuait à supporter leur commentaires Ils se décidèrent enfin de menlever mon harnais et mon plus anal, laissant mon trou béant, suite à plusieurs heures de cette sodomie forcée Jean-Marie plongea son visage entre mes fesses me tenant par les hanches, et plongeant sa langue dans mon anus qui venait dendurer plusieurs heures de pénétration humiliante. Sa langue me fit plonger dans un orgasme torride, je ne sentais plus rien que cest coups de langue et ses mains sur mon corps. Il me lécha lanus tout en me pénétrant de ses doigts dans ma chatte toute mouillée. Totalement vaincue je ne sentis même pas la présence de Thierry devant moi menlevant mon string de la bouche pour me plonger sa grosse queue ...

... au fond de ma gorge. Humiliée, soumise, telle une poupée de chair, il mutilisait comme une vulgaire pute. Jétais leur jouet, et il me faisait jouir. Jean-Marie se releva et me pénétra, me pilonnant comme un animal. Aucune douceur, des bêtes, des animaux en rut. Lun devant lautre derrière, et moi au milieu, troussé comme une oie et mes gros seins se balançant toute fois toujours protégé par mon SG. Ils continuèrent, échangèrent leur position, laissant durer mon supplice de jouissance pendant plus de 10 minutes avant de me libérer du carcan et de me relever

- Attends on va la fini debout cette grosse pute en sandwich, deux queux il parait que cest son plus grand fantasme daprès Marielle.

- Avec toutes les pilules que jai prises de toute façon je peux la baiser toute la nuit et plusieurs fois dit Jean-Marie

- On va faire vite quand même sinon son homme va sinquiéter, et on ne voudrait pas quelle se fasse gronder madame la bourgeoise . Nest ce pas

- Oui prenez moi tous les deux maintenant et faite moi jouir

Javais perdue toute retenue et voulais juste leur grosse queue au fond de moi, jusquà ce quil me jouisse dessus.

Ils me soulevèrent, Jean-Marie devant, qui me pénétra en premier et Thierry derrière. Je maccrochais au coup de Thierry qui allait menculer, mes jambes enserrant le gros ventre de Jean-Marie. Ils étaient tous les deux en moi, tellement bestial, si gonflé, si dur, ils me ramonaient comme des animaux. Ils avaient du se gaver de Viagra pour bander si ...