Le 14 juillet du Bicentenaire à Paris
Datte: 21/11/2018,
Catégories:
Épouses affectueuses,
Auteur: byDominiknic, Source: Literotica
... personnes, cela l'excitait énormément, en plus du reste... Je remarquais bien son air bizarre, mais le feu d'artifice battait son plein et j'étais comme tout le monde, fasciné par les couleurs et les bruits et puis surtout, j'étais à cent lieux de me douter que...
Bientôt tout fut consumé avant que j'ai pu m'en apercevoir. Le type déconnant sa bite du trou de Myriam déchargeait avec une abondance extrême dans la culotte de dentelle au niveau de l'avant et du fond du slip de la belle cochonne. Myriam me dit avoir eu à cet instant, un orgasme violent et avoir jouit elle aussi. Pa son trou de femme, elle aussi déchargeant et elle dégoulinait en même temps, mêlant sa cyprine au foutre du type. C'est à ce moment que ses yeux chavirèrent et qu'elle s'agrippa à moi avec des gémissements...
Après un bref instant durant lequel je crû qu'elle avait un malaise du à la fatigue et qu'elle se trouvait mal, brusquement je compris : un gars lui branlait le con et elle aimait cela, la salope!... J'étais encore à cent lieues de la vérité. Prestement, je remontais la robe d'été de Myriam et je fourrais ma main sous le tissu. Ma main rencontra le bout d'un pieu énorme, mouillé, gluant et chaud, à travers le tissu de la culotte de Myriam... Je pensais immédiatement à un god qu'un salaud lui aurait mis... Je retirais ma main et me retournais pour voir derrière Myriam, mais trop tard! Le gars avait avec la rapidité de l'éclair disparut dans la foule qui se pressait vers les premiers rangs et ...
... dans la nuit, rengainant sans doute son matériel sans demander son reste... Le suivre? C'était ne plus pouvoir revenir vers Myriam dans cette cohue... Et puis qu'aurais-je fais de plus? Je pris Myriam par les épaules et la regardais bien en face... Elle était magnifique de plaisir, les pommettes rosies par la jouissance. Je n'eus pas le courage de la gronder et je lui dis simplement :
- "T'es quand même une belle salope!!" et je l'attirais dans mes bras et la serrais avec amour, incapable de lui faire la moindre remontrance, j'ajoutais :
- " T'as été heureuse au moins?! " Elle acquiesça en silence en hochant la tête comme une petite fille coupable et me fit son beau sourire auquel je ne résiste pas et que je lui connais bien. Je la repris dans les bras et l'embrassa sur la bouche. Puis, par devant, je plongeais de nouveau la main sous sa robe et là je vis l'ampleur du déluge : sa culotte pendait largement entre ses jambes, mouillée, imbibée et gluante de foutre et de cyprine. Les poils de sa chatte et du pubis étaient collés et gras de foutre. Le long de chacune de ses cuisses, à l'intérieur, la cyprine qu'elle avait déchargée, avait coulé formant plusieurs filets tant elle était abondante, mêlée sans doute au foutre du mec, et que le slip non appliqué à l'entrejambes n'avait pu contenir... Comme prise en faute, elle ne broncha pas pendant mon investigation. Celle-ci devait même l'exciter car elle frissonna et eut une velléité d'orgasme, puis elle me rendit mon baiser ...