1. Sexe dans l'au-delà


    Datte: 20/11/2018, Catégories: fh, fhh, extracon, Collègues / Travail hotel, humilié(e), Oral pénétratio, fsodo, extraconj, Auteur: Gérald de Saint Pierre, Source: Revebebe

    ... m’avouer qu’Alain lui avait proposé de coucher avec lui mais qu’elle avait refusé. Impossible de faire avouer à Françoise quoi que ce soit de plus ! Maintenant j’allais enfin connaître la vérité.
    
    J’y pensais en me concentrant et, je me retrouvai, assis à côté d’eux dans la camionnette en question. Nous roulions dans la nuit, il faisait chaud, la vitre était ouverte et Françoise fumait. Je fumais moi-même quand j’étais vivant et rester plus d’une demi-journée sans ma drogue eut été un supplice, mais là, rien, pas d’envie, ni de dégoût non plus. Je m’interrogeais sur ces problèmes métaphysiques qu’étaient le fait que je sois à la fois mort et vivant.
    
    Donc Françoise était là, assise. Alain lui racontait que cette réparation allait être plus importante que prévue, le moteur était coulé, il fallait changer les bielles et je ne sais pas quoi d’autre, j’ai toujours été nul en mécanique. Bref, je le voyais venir avec ses gros sabots, il la mettait en position de redevable et insistait bien sur l’effort qu’il devrait accomplir pour lui être agréable. Françoise le remerciait sans arrêts, disant que c’était une chance d’avoir de vrais amis.
    
    Puis il gara son camion sur un terre-plein.
    
    — Que fais-tu ?
    — Je vais contrôler l’attelage, attends une minute.
    
    Il revient, se réinstalle, et ôte sa veste.
    
    — Tu sais que tu m’as toujours plu ?
    
    Ce faisant, il s’approche d’elle en se penchant pour l’embrasser mais elle se retire.
    
    — Alain, pour moi tu es un ami, c’est ...
    ... tout. Tu es marié et moi aussi. Tu me dépannes, c’est super gentil mais c’est tout.
    — Attends, tu ne te rends pas compte de tout ce que je fais pour toi, je suis là en train de remorquer la bagnole de ta mère alors que je pourrais être tranquillement chez moi. Samedi, je vais passer la journée à réparer ce putain de moteur. Tu pourrais être gentille avec moi, tu ne crois pas ?
    
    Elle ne dit rien…
    
    — Bon ça va, j’ai compris ! Je te ramène. Tu me dis où je pose ta caisse et au revoir et merci. Ça m’apprendra à être trop brave.
    — Tu vas me laisser comme ça ? Tu sais que maman a besoin de cette voiture, elle serait trop déçue…
    — Ça dépend de toi, moi tu sais ce que je veux. À toi de choisir, ça ne sera qu’une fois et personne en saura rien.
    
    Elle réfléchit un long moment, puis, l’air penaud, elle chuchote presque :
    
    — Bon, ok, c’est oui…
    
    Je m’en doutais, j’ai toujours pensé que ça s’était passé comme ça mais dans ma naïveté, je la croyais aussi. Ne dit-on pas que l’on croit toujours un peu ce que l’on espère…
    
    En plus, il lui a fait la totale, ce salaud. D’abord il s’est fait sucer pendant dix bonnes minutes, montre en main, puis il se l’est prise comme ça, dans la cabine. Ça grinçait de tous les côtés.
    
    J’étais un peu dégoûté par cette scène. De plus, j’avais l’impression d’être un voyeur. Quoique pour être honnête, je trouvais ça assez excitant de voir ma femme faire la pute, car comment appeler autrement une femme qui s’offre à un mécanicien pour qu’il répare ...
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