Un bois ordinaire
Datte: 19/11/2018,
Catégories:
hhh,
inconnu,
forêt,
Voyeur / Exhib / Nudisme
facial,
Oral
hdanus,
hsodo,
Gay
Auteur: Jd, Source: Revebebe
... brindilles cassées certainement par des pieds, quelqu’un me suit.
À droite dans la clairière, la tête de tout à l’heure a refait son apparition. Plus proche, je distingue qu’en effet elle est chauve mais que l’homme est souriant. Visiblement, il est au moins torse nu car je distingue ses épaules dénudées. J’évalue rapidement que le chemin que je suis devrait passer près de lui. Je continue. L’homme, voyant que je m’approche de lui, se baisse. Il disparaît à mes yeux mais j’ai repéré les lieux et je m’approche. Je découvre alors, dans cette clairière envahie d’herbes folles, d’arbustes minuscules et de ronces, qu’un petit espace est dégagé. L’herbe y est rase et au milieu de cet espace je découvre l’homme à la tête chauve, allongé sur une serviette de bain. Il est complètement nu. Son sexe est petit mais érigé. Une paire de gros testicules pend. Ses jambes sont écartées et je distingue la naissance de sa raie. Il est poilu et un peu ventru. Confirmation qu’il n’y a pas que des perdreaux de l’année qui fréquentent le lieu.
Mon excitation monte d’un cran. Mon sexe occupe pleinement le peu de place dont il dispose dans mon pantalon. Je sors mes mains de mes poches arrière. L’homme me regarde. Il n’est ni beau, ni laid. Il empoigne sa tige pour entretenir son érection. Même petite, cette bite m’attire et, répondant à mon instinct, je vais m’agenouiller quand soudain je sens qu’on me saisit par derrière. Deux mains s’emparent de mes seins après s’être insinuées dans ...
... l’ouverture béante de ma chemisette. Je sens un corps contre mon dos. Je suis surpris et j’entends une voix.
— Trop bon, ton cul, me souffle une voix dans mon oreille, il est bien moulé, il m’excite.
— …
— Tu dois être une bonne lope, toi.
Puis je sens la bouche du mec déposer un baiser plus que baveux dans mon cou. Il pince mes tétons, déclenchant en moi le véritable processus de l’érection. Je ne peux que gémir. Ça y est ; je suis dans le vif du sujet ! Je tourne la tête et découvre que l’homme qui m’a empoigné – et qui certainement était celui qui me suivait – est celui du 4x4.
Je me libère de son emprise et me tournant, je le saisis à mon tour et m’empare de ses lèvres. Nos bouches se rejoignent et s’entrouvrent instantanément. Nos langues se mêlent dans un baiser fougueux. Nos corps se frottent. Ses mains saisissent mes fesses. Je sens son sexe contre ma cuisse ; lui doit sentir le mien contre les siennes. Nous titubons, mais nos lèvres ne se lâchent pas. Des mains enserrent mes épaules et c’est alors que je comprends que ce doit être le chauve nu au sol qui caresse mon cul. Je laisse les lèvres de l’homme au 4x4 et tourne la tête pour m’assurer de ce que je suppose. Le chauve est maintenant à genoux et il palpe mes fesses de ses mains grandes ouvertes.
— C’est vrai que t’as un beau cul, dit-il.
— Depuis tout à l’heure je te suis, et ton slip sous ton falze m’excite, me fait bander comme un cerf, dit à son tour « 4x4 ».
J’étais loin de penser que ma tenue, ...