1. Le miroir aux alouettes


    Datte: 19/11/2018, Catégories: fh, hplusag, jeunes, vacances, amour, noculotte, intermast, Oral 69, fgode, pénétratio, fsodo, init, amourpass, Auteur: Lilas, Source: Revebebe

    ... qu’il devait arrêter là ses caresses s’il ne voulait pas que Marie ne jouisse avant l’heure.
    
    Il retira son doigt mouillé, et se coucha sur le corps tendre et impatient de la jeune femme. Il sentit à quel point elle était crispée lorsqu’il caressa ses seins durs et frémissants.
    
    Enfin, il s’exécuta, et positionna ses reins contre les hanches de Marie. Elle avait déjà les jambes écartées, mais fit mine d’ouvrir encore plus ses cuisses, comme s’il n’avait pas déjà compris à quel point elle avait envie de lui… Il lui donna un baiser profond et humide, tout en pesant de tout son poids sur elle.
    
    – Prends-moi… Oh oui… ! cria-t-elle contre ses lèvres, dans un spasme violent.
    
    Il venait de lui obéir. Elle restait immobile, tendue et attentive. Il la pénétra doucement, luttant pour garder les idées claires. Sa queue s’enfonça entre les vulves avec un bruit de succion excitant, et continua son chemin, continua, continua, jusqu’à ce que son gland bute contre la paroi de son vagin tellement étroit.
    
    Marie poussa un faible gémissement. Ils s’enlacèrent férocement. Il commença à remuer, lentement au début, puis plus fort, plus vite, et finit par la labourer si fort qu’elle criait sans discontinuer, suivant son rythme.
    
    Ils s’étreignirent avec frénésie, leurs peaux moites se caressèrent, se frottèrent. Dans le noir, Maxime, bouleversé, regarda Marie, la devinant à peine. Ses cheveux longs s’épanouissaient en corolle sombre sur l’oreiller. Elle bougeait la tête, la bouche ...
    ... ouverte sur des soupirs torturés. Il allait et venait entre ses cuisses ouvertes, sur elle, en elle, si fort que le sang battait à ses tempes.
    
    Les seins tendres et fermes de Marie s’écrasaient contre les poils drus de son torse à chaque poussée de reins. Puis tous deux se collèrent plus fort, haletants et nerveux. Il sentit les doigts de Marie se glisser sur ses épaules, entrer dans la peau de son dos, tandis qu’elle criait plus fort, incapable de reprendre son souffle. Il la prenait sauvagement, comme dans ses rêves les plus fous. Elle enfouit son visage dans son cou, troublée et amoureuse.
    
    Il sentit alors son plaisir à la convulsion de ses traits contre sa peau, au souffle qu’elle retint soudain entre ses lèvres, puis qu’elle laissa échapper avec une plainte sanglotante. Dans un cri qui le déchira, il la transperça de son éjaculation, avec une force telle qu’il la sentit frémir, puis gémir à nouveau. Puis crier.
    
    Il se répandit en elle en un jaillissement intermittent, continuant à lui balancer quelques coups de reins, frénétiques, qui l’achevèrent. Au tremblement qui la prit, il sentit à travers les brumes de son plaisir qu’elle était en train d’apprécier son premier orgasme vaginal. Dans un effort surhumain, il poussa donc son sexe un peu plus encore, dans un va-et-vient rapide. Marie poussait des cris brefs et aigus, car enfin, elle avait ce qu’elle attendait.
    
    Son plaisir était tel qu’elle pensa défaillir, et pourtant une vague reflua soudain dans son ventre et ...