Un Couple Ouvert (4) - Histoires de Sexe

Un Couple Ouvert (4)

... vagin, et je me penchai vers lui pour l’embrasser et lui parler avec bienveillance :

— Tu es bien, là ?

— Oh oui, très bien ! Et toi ?

— Ça fait du bien là où ça passe, lui dis-je d’un ton plaisantin.

Les yeux bleus du jeune homme étaient émus en me regardant, j’avais l’impression d’y lire une forme de… « déification » de ma personne, une reconnaissance éternelle. C’était ça que je voulais voir, ce que je voulais dans mon fantasme : pas seulement dépuceler un garçon comme ça, mais lui faire découvrir le plaisir et le surprendre dans cette découverte. Clément avait attendu ça longtemps, je le lui donnais enfin. Heureuse de voir cette émotion sur son visage et dans son regard, je lui fis un immense sourire dans lequel se mêlaient de nombreuses auras positives : le plaisir, la bienveillance, le bonheur, l’affection, l’amitié et la satisfaction.

Tendrement, je commençais à bouger en maintenant le regard et le sourire. Ce fut Clément qui soupira le premier, dès le début de mes mouvements. Je faisais attention à bien prendre mon temps et à l’écouter beaucoup. Il avait déjà éjaculé quelques minutes plus tôt et sûrement encore avant ; mais à leur première fois, c’était connu que les garçons tirent très vite en général. Je m’assurai que ça allait pour mon ami en continuant de le lui demander d’une voix douce et réconfortante.

À force de frottements, ce fut à mon tour de soupirer de plaisir. Je m’autorisai à augmenter un peu la cadence, toujours en restant ...

... tranquille cependant ; nous faisions peu de bruit, juste le froissement des draps et nos souffles chauds entremêlés. Les chatouilles dans mon corps se faisaient plus profondes, Clément avait une très bonne érection et c’était le plus important puisque je m’occupais des mouvements – qui étaient forcément bons pour moi. La dureté parfaite de sa verge qui glissait sans accroc m’apportait des bouffées de chaleur progressives et délicieuses. J’étais encore loin de jouir, mais je pouvais déjà garantir passer un bon moment.

Plus qu’à soupirer, le chevauché se mit à râler en sourires. Ses bras m’invitèrent à me laisser enlacer, et m’arrêtant pour me coller contre lui, il choisit de prendre la relève en gérant le coït. Sûrement parce que ça lui faisait beaucoup de bien et parce qu’il était excité, Clément me pénétrait plus rapidement ; ce n’était pas déplaisant ! Il variait les rythmes, je lui fis alors remarquer que c’était une très bonne chose, ce à quoi il répondit qu’il le savait et que de toute façon il aimait bien ça aussi.

Alors que nous nous embrassions, sa verge glissa hors de mon vagin ; je me redressai donc pour la saisir, trempée, et la réinsérer. J’avais repris les rênes et décidai d’y aller un peu plus fort, en claquant petit à petit nos peaux. Cette fois, nos râles étaient vigoureux et le sexe devenait torride… !

Même trop torride, Clément n’y résista pas : ses vives plaintes et l’élèvement qu’il fit, crispé, trahirent son orgasme. Je m’étais arrêtée le temps qu’il ...