Un Couple Ouvert (4) - Histoires de Sexe

Un Couple Ouvert (4)

... sucer ?

— Oh oui ! Oui ! Oui, Clara !

Je ris de le voir réagir comme un enfant à qui on proposait d’aller à Disneyland. À notre âge, il devenait plus amusant de jouer dans une chambre que dans un parc d’attactions ! Petit à petit, je faisais goûter à ce grand enfant la joie de la fellation. Pour commencer, je lui donnais de chauds baisers sur le pubis et tout autour de ses parties génitales tout en continuant de le masturber tout doucement. Mes baisers me guidèrent jusqu’à la jonction entre sa verge et ses testicules, où je me mis cette fois à faire des passages de langue. Clément gémit et je l’écoutais attentivement ; il fallait modérer mon appétit pour ne pas le faire jouir trop vite, là où Hugo et Ethan avaient l’endurance de leur expérience.

Je revins donc en face du gland de mon partenaire, toujours à caresser le sexe de mes doigts fermés.

— Clément, juste une chose avant de commencer… Tu m’éjacules pas dans la bouche, ni sur le visage. Donc tu préviens quand tu sens que tu vas jouir, et tu pourras le faire sur mes seins ou ma gorge.

— D’accord.

Afin de préparer un peu le terrain, je prodiguai des bises sur le gland rond et rose puis commençai à le lécher doucement à demi-langue. Alors, quand il fut assez humide, je fis glisser le membre viril entre mes lèvres pour qu’il soit bien au chaud dans ma bouche.

Clément était comblé. Afin de ménager le jeune vierge, ma langue bougeait très peu en comparaison de ce que je faisais avec mes autres ...

... partenaires. S’il paraissait évident qu’il se soit masturbé un peu avant ma venue pour l’aider à tenir, ça ne valait toujours pas l’expérience et le contrôle de son corps acquis au fil des rapports ; ça je l’avais bien remarqué avec Hugo.

Lentement, je procédais à des va-et-vient de la tête, en salivant beaucoup. Pendant quelques minutes, sa queue se faisait sucer de plus en plus loin et le jeune homme soupirait en conséquence. J’allai lui lécher de la langue et des lèvres toute sa hampe, offrant des petites bises, avant de le reprendre contre mon palais. Mon ami continuait de râler de plaisir alors que ses couilles étaient pouponnées entre mes doigts. Je retirai ma bouche pour le masturber un peu, calmement toujours, en fixant le méat noir.

— Comment ça va ?

— Super bien… Tu suces tellement bien !

— Et encore, je fais presque rien ! Si je te suçais comme avec les autres, t’aurais déjà éjaculé depuis longtemps, lui dis-je avec légèreté.

— Ça commence à venir, là.

— D’accord. Préviens-moi.

Et je repassai à l’attaque pour une fellation banale, sans grosse folie. Ça ne me faisait pas déprécier le moment pour autant, c’était toujours agréable d’avoir une queue bien dure dans la bouche ! Mais me retenir de faire certaines choses dont j’avais envie ou par habitude nécessitait une certaine concentration et par conséquent, c’était un peu tue-l’amour. Ça valait le coup, toutefois ; ce n’était pas tous les jours qu’on initiait un garçon ! Il fallait le faire profiter un peu, ...