La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1096)
Datte: 18/11/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... bites n’avaient pas encore juté, tandis que mon clitoris en feu était l’objet de toutes les attentions d’une langue experte… Je dandinais du cul, me trémoussais comme une salope en rut, une autre chatte s’était présentée à ma bouche… je faisais feu de toutes parts, mais j’assurais cependant… Les tam-tams accéléraient leur cadence, les bites suivaient, j’allais exploser je le sentais quand, les deux bites jutèrent en même temps… La sensation des jets simultanés en moi me firent donner des coups de reins et cul si puissants que j’éjectais les deux bites en même temps. Un violent coup de cravache me cingla à hauteur des reins, me faisant me cabrer, abandonnant la chatte que je léchais et m’arrachant de la bouche qui en faisait de même avec mon clito. Un second coup de cravache m’atteignit en travers du dos, tandis que les deux bites entraient à nouveau en mes orifices...
Je levais mon cul pour leur faciliter la tâche comme une véritable furie de cul d’une femelle en chaleurs… La bouche reprenait mon clito abandonné ce qui me fit glousser comme une damnée… Quelqu’un versait sur mon dos et épaules de la cire fondue, tandis que je recevais des ...
... jets de foutre dans les cheveux, le cou, les épaules, sous le rythme maintenant endiablé des tam-tams. Les bites jutaient à nouveau et se retiraient très vite… J’étais de nouveau au bord de l’explosion finale car la bouche, sur mon clito ne me lâchait plus, la personne ayant passé ses mains au-dessus de mes reins me plaquait sur sa bouche… En cet instant, j’avais le cul et la chatte libre, mais un baobab se présenta à l’anus. Je dis baobab car jamais encore je n’avais senti de tentative d’introduction aussi monstrueuse. Même et surtout les yeux bandés, je n’avais que mon ressenti pour imaginer et ce que j’imaginais me paraissait terriblement excitant…
- Encule-la cette salope, hurlait une voix, tandis que les tam-tams frappaient encore plus vite.
Derrière moi, celui qui poussait m’avait attrapée par la taille et en poussant, ses mains faisaient l’inverse m’attirant à lui. Je sentais son gland monstrueux, un gland d’une bite que je devinais énorme, était posé sur ma rosette pourtant ouverte, forçait sous les coups de reins et la force d’attraction des mains, faisant s’ouvrir encore plus mais très lentement mon trou du cul…
(A suivre …)