1. Le parking


    Datte: 18/11/2018, Catégories: fh, couple, inconnu, parking, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, préservati, pénétratio, fsodo, jouet, confession, Auteur: Faustine, Source: Revebebe

    ... d’une histoire qui est le ciment de notre couple, la partie la plus intime, la complicité, le désir, l’envie, le fantasme… Je me souviens de chaque jouet ! De son achat ! De sa première utilisation ! C’est comme si un film défilait devant mes yeux alors que je le pose sur le lit.
    
    Le gode vibrant est le plus anodin. Quel couple n’en a pas ? Il peut avoir de nombreuses formes. Celui que je sors est le dernier d’une longue liste, certains morts au champ d’honneur, d’autres relégués devant le progrès de la forme, de la texture, des modes de vibration, de la couleur, de leur efficacité pour bien remplir, d’exciter le clitoris, même de permettre une pénétration de son amant. Mais rien ne vaut le bon vieux Rabbit !
    
    C’est un peu la même chose pour les petits objets aptes à juste exciter le petit bouton ! Les boules de geisha sont déjà plusintimes, surtout les dernières avec la télécommande qui permet de déclencher les vibrations à n’importe quel moment.
    
    Avec le gode anal, on entre dans leplus qu’intime. Sa présence apporte la preuve que la sodomie est une pratique de notre couple. Même si les statistiques affirment que beaucoup de femmes l’acceptent, ce n’est tout de même pas le plus répandu.
    
    Et ce qui suit montre que chez nous, c’est plus qu’une pratique occasionnelle. Trois plugs en sont la preuve vivante. Trois plugs de tailles différentes, en métal poli avec une belle pierre de couleur qui apporte une touche féminine.
    
    Mais le pire et j’hésite à le montrer, c’est ...
    ... notre tout dernier. Mais je n’ai pas le choix, Marc l’a vu. Il faut dire que c’est le plus imposant. En réalité, il y a plusieurs godes de tailles et de couleurs différentes et que l’on peut adapter à une ceinture. Ceinture qu’on peut fixer autour de la taille et autour de chaque cuisse, et qui munie de cette bite artificielle transforme celle qui la porte en mâle conquérant. L’usage est évident !
    
    — Qui l’a acheté ? demande Marc en me le montrant.
    — Louis.
    — Et vous vous en servez ?
    — Oui, depuis quelques mois.
    — Et ?
    — Nous aimons beaucoup.
    
    Marc sourit. Il s’approche de moi. S’il a parlé avec mon mari pour préparer ce rendez-vous, j’imagine que Louis n’a pas parlé de cette partie de notre sexualité. Cela me gêne d’avoir montré à un inconnu ce que personne ne sait. Pourtant je pourrais en être fière : c’est grâce à moi que Louis en est venu à se faire prendre ainsi, à accepter que je glisse un gode dans son petit trou. Et il y a pris goût. De plus en plus souvent, il sort le jouet de son écrin afin que je le mette. C’est lui-même qui choisit quel gode, un gros, un plus petit, un couleur chair, un d’un noir profond. Il aime que je l’encule, à quatre pattes comme une lopette, mais moi je préfère face-à-face afin que je voie sur son visage, les traits du plaisir et que je puisse le branler jusqu’à ce que je recueille son foutre dans ma bouche et lui offre à goûter tout en le défonçant.
    
    Marc m’enlace et me caresse. Bien vite, je me retrouve à demi nue devant lui et ...
«12...111213...17»