1. Domination de Madame et Monsieur 12 ET FIN


    Datte: 17/11/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Maître Cocufieur, Source: Hds

    -- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS -
    
    Le grand soir est venu. Les maîtres étaient là, les gardiens baiseurs aussi et l'on n'attendait plus que l'arrivée des pensionnaires. La grande allée de l'étable numéro trois avait été lavée à grande eau et décorée de fanions multicolores et de bouquets de fleurs. Des projecteurs éclairaient l'endroit où l'on a aligné quelques rangées de fauteuils rouges imposants pour les maîtres. Les gardiens, équipés de fouets et le sexe pendant en dehors des pantalons se tenaient de part et d'autre de l'allée.
    
    Je devais rejoindre l'étable avec maître Lopez quand l'un des gardiens nous annonça l'arrivée de trois jeunes femmes : Odette, Geneviève et Susanne. Trois bombes malheureusement emmitouflés dans des tenues austères qui les vieillissaient. C'étaient les activistes amies de Lucie. Elle avait tenu parole : c'était l'une des conditions de Hassan le Marocain pour s'occuper d'elle et la baiser sauvagement le plus souvent possible.
    
    Les féministes voulaient en savoir plus sur la situation des femmes volontaires qui venaient ici. Étaient-elles réellement libres ? N'y a-t-il pas atteinte à leur intégrité physique et exploitation de leur faiblesse psychologique ? Un tas d'autres questions emmerdantes pour Lopez qui répéta le même cours dispensés à Lucie.
    
    Odette, Geneviève et Susanne furent conduites à l'étable pour s'enquérir par elles-mêmes de la nature des jeux adultes pratiqués dans la ferme. Quand Hassan apparut sous la ...
    ... lumière d'un lampadaire, les trois femmes faillirent s'étrangler : le chibre du Marocain s'offrait à leurs regards et elles furent choquées ! Elles se cachaient les yeux avec leurs mains et demandèrent au Marocain de faire rentrer son engin. Ce dernier répondit qu'il respectait les ordres de maître Lopez et que c'était l'une des obligations pour les gardiens. Elles ne purent rien faire et suivirent Hassan jusqu'à l'étable. Et la, ce fut un autre choc puissance 10 : en effet, douze gardiens baiseurs se tenaient devant elles avec dix pénis très gros et longs bien visibles.
    
    Les féministes étaient écoeurées et demandèrent à voir Lucie. On les fit patienter. Elles s'assirent au premier rang. Le gardien en face d'elles jouait avec son sexe : il le leur montrait d'une façon on ne peut plus vulgaire, le malaxait, le masturbait. Odette insista pour parler à Lucie.
    
    On fit venir Lucie harnachée comme un cheval et traînant un attelage où avait pris place Don Pedro, un richissime libertin andalou. Elle galopait et ses fesses blanches de balançait au rythme de sa cavalcade.
    
    - Est-ce bien Lucie, notre camarade féministe se demanda Susanne ?
    
    - Ils ont dû lui donner une saloperie à boire !
    
    - Lucie, Lucie ! Cria Geneviève...
    
    Lucie, impassible, les nichons pâles à l'air libre, avançait sans écouter son ami. Enfin, elle s'arrêta et Hassan s'avança vers elle et lui murmura à l'oreille : " tu as un bon point, pute ! Tu as réussi à faire venir ces futures trois vide-couilles ! Je vais ...
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