Une chatte sur un doigt brûlant
Datte: 17/11/2018,
Catégories:
fh,
fhhh,
hplusag,
inconnu,
Collègues / Travail
boitenuit,
Voyeur / Exhib / Nudisme
strip,
Oral
pénétratio,
fsodo,
policier,
Auteur: Fantasio, Source: Revebebe
... longue séparation. Il avait essayé de la prendre, là, tout de suite, mais elle l’avait doucement repoussée.
— Prenez donc une bonne douche et venez me rejoindre ensuite, je crois que vous en avez besoin.
Il l’avait retrouvée dans la chambre et ils avaient fait l’amour une grande partie de la nuit. Prenant enfin le temps de découvrir leurs corps et ces sentiments brûlants qui les habitaient l’un comme l’autre.
Lorsque Tania s’était réveillée le lendemain, son patron avait disparu. « Rejoins-moi à la brigade en fin de matinée. Il faut qu’on parle. » Elle lisait et relisait le petit mot posé sur la table de la cuisine, imaginant déjà la fin de leur brève aventure et son transfert probable vers une autre affectation. Elle s’en voulait. Elle avait tout gâché comme une conne, laissant son cul prendre le contrôle de sa tête, et à présent, elle allait devoir en payer le prix.
— Asseyez-vous Romero.
Elle cherchait à attraper son regard mais il faisait visiblement tout pour l’éviter, se plongeant dans le dossier ouvert devant lui, regardant l’écran de son ordinateur ou l’agitation de la rue par la fenêtre du bureau.
— J’ai réfléchi, Tania. Je veux que vous arrêtiez la mission.
— Et je peux savoir pourquoi ?
— Parce que je suis votre supérieur et que je vous donne un ordre, voilà tout.
— Moi je crois plutôt que vous voulez vous débarrasser de moi en commençant par me retirer ma mission. Alors, débarrassez-vous de moi si vous voulez, mais avant ça, je vais ...
... terminer ce que j’ai commencé.
— C’est un ordre Romero !
— C’est ça ! Eh bien, sachez que ce soir j’irai chez Estrada, et ce n’est pas vous qui allez m’en empêcher.
Elle avait quitté le bureau en claquant la porte derrière elle, sans lui laisser le temps de répondre, de lui expliquer combien il tenait à elle et combien il voulait à tout prix éviter de la mettre en danger. C’était ridicule et il le savait. C’était bien pour cela qu’il ne fallait pas mélanger le cul et le job. À présent, Tania n’était plus un des membres parmi d’autres de la brigade. Il l’avait tenue dans ses bras, ils avaient fait l’amour. Il avait fait une connerie et il fallait assumer. Dix minutes après que Tania eut quitté les locaux de la brigade, il avait rassemblé ses troupes. Si Tania se rendait chez Estrada, il avait bien l’intention de faire tout le nécessaire pour la protéger.
À neuf heures, Tania pénétrait dans la somptueuse villa de Silvio Estrada. Elle avait passé de longues heures à se préparer, n’arrivant pas à se décider sur la tenue adéquate, l’esprit perturbé par ses aventures de la veille. Les visages de Pierre et de Silvio défilaient dans sa tête, déclenchant l’un et l’autre des frissons intenses qui lui électrisaient les chairs. Pierre qui l’avait comblée de plaisir mais qu’elle haïssait à présent pour l’avoir abandonnée, et l’inquiétant Silvio, dans l’antre duquel elle allait devoir pénétrer.
Elle s’était finalement décidée pour une jupe noire à volant, courte et ample, façon tutu, ...