1. Une chatte sur un doigt brûlant


    Datte: 17/11/2018, Catégories: fh, fhhh, hplusag, inconnu, Collègues / Travail boitenuit, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, Oral pénétratio, fsodo, policier, Auteur: Fantasio, Source: Revebebe

    ... d’arrêt.
    
    — Pas très réglementaire comme arme, inspecteur Romero.
    
    Ses yeux brillaient comme des tissons tandis qu’elle fixait le commissaire Ligier avec une rage retenue. Les images de son indécente exhibition défilaient dans sa tête et elle lui en voulait d’y avoir assisté. Durant de longues secondes ils étaient restés immobiles, les yeux dans les yeux, jusqu’à ce qu’elle retire enfin sa main et replie son couteau.
    
    — J’aime mieux ça. Je voulais vous féliciter pour l’excellent boulot que vous avez fait ce soir. Et aussi… pour l’excellente soirée que vous m’avez fait passer.
    
    Il avait rattrapé sa main grande ouverte, à peine une fraction de seconde avant qu’elle ne s’écrase sur sa joue. La seconde était partie presque aussitôt, elle aussi rattrapée en plein vol. Ils étaient comme deux lutteurs qui se testent face à face, les muscles bandés, presque immobiles, Pierre tenant fermement les poignets de Lydia à hauteur de leur visage. Puis il avait brusquement débloqué son bras droit, s’écartant en même temps vers la gauche. Déséquilibrée, la jeune femme avait esquissé une pirouette avant de se trouver à son tour le dos au mur, les mains retenues au-dessus de la tête. Elle était magnifique, pareille à une tigresse, prête à mordre et à lui lacérer le visage de ses griffes s’il lui en avait seulement laissé l’occasion. Sans lui donner le temps de réagir, il lui avait brusquement dévoré la bouche d’un baiser passionné. Pendant quelques secondes, elle avait fait mine de ...
    ... refuser son baiser, essayant de lui interdire sa bouche. Puis, elle avait fini par entrouvrir ses lèvres pour laisser la langue du commissaire Ligier venir à la rencontre de la sienne et partager enfin cette étreinte si longtemps fantasmée.
    
    Ils s’étaient enlacés dans l’obscurité du porche avec une fièvre animale. Les mains de Pierre couraient sur ce corps qu’il avait contemplé quelques minutes plus tôt, se glissant sous sa jupe et sous son chemisier, s’enfonçant dans ses chairs trempées. Tania quant à elle, n’avait pas tardé à libérer le sexe gonflé de son patron, l’aidant à se frayer un chemin vers sa chatte détrempée. Appuyée contre le mur, les jambes enserrées autour de la taille de son partenaire, elle avait accompagné le membre dressé qui s’était enfoncé brutalement en elle. Dans le silence de la nuit, les ahanements gutturaux du commissaire se mêlaient aux gémissements de plus en plus intenses de sa jeune inspectrice.
    
    Ils avaient joui presque au même moment. Une jouissance intense, comme une libération trop longtemps attendue, suivie d’un long silence au cours duquel chacun essayait de reprendre ses esprits. Ils avaient franchi la ligne jaune et ils le savaient.
    
    Après avoir remis de l’ordre dans ses vêtements, Tania était ressortie la première. La rue était déserte.
    
    — Je rêve d’un whisky glace depuis que je suis sortie du Mambo. Ça vous dit de venir en partager un chez moi ? J’habite à cinq minutes.
    
    Il aurait pu invoquer une excuse bidon. Un rendez-vous, du ...
«12...567...14»