1. Une soumise peut en cacher une autre... (1)


    Datte: 10/02/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: zouzou87, Source: Xstory

    « Chérie, je viens d’obtenir une augmentation ! »
    
    C’est sur ces mots que je franchissais, tout fier, la porte d’entrée de l’appartement parisien que je partageais avec ma femme, Lucie, jolie brune de 28 ans pour 1m71, certes un peu ronde, mais un joli 95D et un cul à faire bander un eunuque.
    
    « Génial mon amour ! Enfin ! Combien ?
    
    — Cent euros bruts à peu près, lui répondis-je.
    
    — Tu te fous de moi ? C’est tout ? Mais tu as 31 ans, ça fait six ans que tu te démènes pour cette boîte, sans compter tes heures, et c’est tout ce qu’ils accordent à leur meilleur commercial ? Malgré tous les bénéfices que vous faites, en grande partie grâce à toi ?
    
    — Mais c’est déjà mieux que rien, non ?
    
    — Ecoute-moi bien Arnaud, on n’a pas fait tous ces efforts pour rien, toi et moi. Il faut que tu en demandes davantage, dès demain.
    
    — Mais Marc, mon patron, n’acceptera pas, voyons !
    
    — Demande-lui, s’il te plaît, pour me faire plaisir comme je te fais plaisir... »
    
    C’est alors qu’elle me poussa sur le divan, déboutonna mon pantalon, et s’empara de ma queue. Sa manière de masser mes couilles, de jouer avec mon gland et mon sexe encore mou, était divine. Quand je dis qu’elle pourrait faire bander un eunuque, c’est même un doux euphémisme. Aucune verge ne pourrait résister à ses lèvres, à cette langue, à cette succion affamée... et pourtant, moi, je n’avais plus bandé depuis plus de trois ans. Probablement le stress du boulot.
    
    Aujourd’hui encore, je n’allais pas dépasser ...
    ... le stade de la mi-molle.
    
    « Ce n’est pas grave mon chéri, me rassura une énième fois Lucie. Concentre-toi sur ta demande à ton patron demain. C’est important à mes yeux aussi. »
    
    A vrai dire, ça l’était sûrement davantage à ses yeux qu’aux miens. J’aime mon boulot et je trouve ma rémunération suffisante. Mais il est vrai que Lucie, modèle photo ayant connu un grand succès jusqu’à sa prise de poids il y a un peu plus de deux ans, ne décrochait désormais que de très rares contrats très peu juteux, et se retrouvait le plus souvent coincée à l’appart, sans avoir de quoi assouvir ses besoins en shopping. J’allais donc essayer d’insister auprès de Marc, mon patron à la réputation inflexible, dès le lendemain.
    
    A huit heures tapantes le jour suivant, j’étais dans le bureau de Marc.
    
    « Bonjour Monsieur, je venais vous remercier pour l’augmentation que vous m’avez accordée hier...
    
    — Il n’y a pas de quoi, euh...
    
    — ... Arnaud, le corrigeai-je. Arnaud Lesieur.
    
    — Oui oui, je sais bien, Arnaud, me mentit-il. Eh bien c’est normal de récompenser le bon travail de ses employés.
    
    — Justement, je me demandais... après six ans de bons et loyaux services et des résultats vraiment très bons, même si ce n’est pas à moi d’en juger, je me demandais si, peut-être, vous ne pourriez pas...
    
    — Non. Ecoutez Arnaud, merci pour votre travail. Mais, retenez bien ce que je vais vous dire, il y a du monde qui serait prêt à vendre son âme pour vous piquer votre place...
    
    — Oui, euh... ...
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