Je me fais défoncer par mon oncle (24)
Datte: 17/11/2018,
Catégories:
Trash,
Auteur: tomflavie, Source: Xstory
... ma grosse queue écarteler ta petite chatte? Regarde bien, petite pute, tu vas adorer…
Sans les mains et d’un simple mouvement du bassin vers l’avant, je vis son énorme gland se frayer un chemin entre mes lèvres rougies d’avoir été malmenées et centimètre par centimètre, je vis sa queue disparaître dans mon corps et qui forma une bosse bien visible sur mon ventre.
Je fixais ce monstre qui recommençait à me pilonner, ce qui m’excita encore plus. Il écarta mes jambes en tenant mes chevilles et se remit à me défoncer. Il fixait mes gros nichons qui se balançaient avec chaque coup administré.
Il baissa sa tête et cracha sur ma chatte. Sa salive se trouva un chemin jusqu’à sa bite et il me limait maintenant avec toute la force dont il était capable.
— Aaahhhh… Je suis votre petite chienne, mon père… ça vous plaît?
— Oui, tu es ma petite salope maintenant… et je te défoncerai quand ça ma plaira…
— Oh oui… Continuez… fourrez-moi comme la dernière des putes!
— Je vais te remplir de foutre… maintenant… Sale pute! Salope… chienne…
Les insultes pleuvaient. Il ramena ses mains au dessus de me cuisses et planta sa queue le plus loin possible et resta immobile pendant une seconde. Il ferma les yeux, son corps se raidit, sa respiration s’arrêta et débuta le déluge dans un long cri rauque.
Je sentis un long jet de foutre se répandre dans mon vagin, qui aussitôt se remplit et se mit à déborder. Un autre très long jet partit et créa un genre de pression à ...
... l’intérieur de mon trou à foutre. M. le curé beuglait sa jouissance. Il retira de quelques centimètres sa bite, ce qui créa une « explosion » de sperme dû à la pression, qui éclaboussa le bas ventre de mon fouteur.
Encore cinq ou six jets se déversèrent dans ma chatte déjà pleine de cette queue. Tout se foutre déborda de ma fente et forma une flaque sur le couvercle du cercueil et dégoulinait même plus bas, sur le cuir du prie-Dieu où j’étais agenouillée un peu avant. Je continuais de me maltraiter le clitoris. Je le claquais maintenant à pleine main.
— Ahhhh… tout ce foutre, mon père… tout ce putain de foutre pour moi…
À bout de souffle, M. le curé se remit à me fourrer comme s’il ne s’était rien passé. Sa queue ne débandait pas. Il lâcha une de mes chevilles et se mit à masser et à claquer mes nichons. Je le regardais, les yeux mi-clos, en jouissance presque permanente.
Il monta sa main à mon cou qu’il serra et approcha son visage du mien. Il cracha sur ma bouche.
— Sale petite pute… maintenant, je vais m’occuper de ton joli cul.
Il donna trois ou quatre puissants coups de queue dans ma chatte, en poussant des cris, avant de se retirer.
— Aaahh! Salope... Aaahh! salope... Aaahh! salope!
— Ah, mon père… ce que vous me défoncez… ce que… oh putain de Dieu!
Puis, me tirant par les cheveux, il me fit descendre sans ménagement du cercueil, me tourna dos à lui et me tenant par la gorge, parla à mon oreille. Je sentais son énorme bite souillée de foutre qui était ...