1. Claire est bien accueillie


    Datte: 17/11/2018, Catégories: ffh, Collègues / Travail pénétratio, amiamour, couple+f, Auteur: Monbel, Source: Revebebe

    Claire était nommée dans ce lycée à 200 kilomètres de chez elle. Premier poste, pas le choix. Mon épouse, le jour de la rentrée, me dit :
    
    — J’ai une nouvelle collègue, elle vient de Versailles. Le proviseur est sympa, il a bloqué ses heures sur trois jours, elle ne dormira à Amiens que deux nuits.
    — Elle ne connaît personne ?
    — Non, je vais l’inviter, elle est sympa.
    
    Le lendemain, Claire était chez nous. 24 ans, jeune agrégée, très belle. C’était l’époque des minijupes. Pendant l’apéritif, j’admirai ses longues jambes.
    
    Me retrouvant à la cuisine, Marie me dit :
    
    — Elle te plaît, tu la dévores des yeux.
    — Mais non, mais non…
    — Menteur.
    
    Je crus rêver quand Marie déclara :
    
    — Nous avons une chambre qui nous sert de bureau, si tu veux tu pourrais dormir ici deux nuits par semaine si Jean est d’accort…
    — Vraiment, ça m’arrangerait bien car l’hôtel, seule, c’est d’un sinistre…
    
    La semaine suivante, Claire arriva chez nous. Elle aimait, comme nous, pratiquer le jogging. Nous partîmes une heure sur les bords de la Somme. De retour, Marie et Claire passèrent, ensemble, dans la salle de bain. Je m’y glissais après. Quand je les retrouvai, Marie était en débardeur avec un short moulant, Claire en robe d’été courte, peu épaisse qui m’offrait des contre-jours superbes.
    
    Quelques cours à travailler occupèrent le reste de la soirée. Quand je retrouvai Marie dans le lit conjugal je la pris avec ferveur, mais le corps et le sourire de Claire étaient dans ma tête. La ...
    ... savoir derrière la cloison m’excitait.
    
    Les semaines passaient sans rien de particulier si ce n’est l’intimité qui se glissait entre nous. Le soir, le matin, nous nous promenions, parfois, peu vêtus. Marie et Claire partageaient souvent la salle de bain pour « gagner du temps ». J’aimais apercevoir le profil d’un sein, le galbe d’une fesse, l’ombre du pubis de notre invitée. Intimité, complicité peut-être, nous étions jeunes et l’époque, le milieu invitait à la liberté.
    
    La « fête de la chasse » était, à l’automne, une tradition d’enseignants. Conjoints invités, ils se retrouvaient pour un « repas de chasseur ». Escargots, gibiers étaient les incontournables du festin. Ce repas avait lieu un samedi.
    
    Claire revint pour l’occasion. Le « repas » tint ses promesses. Le restaurateur proposa que nous terminions la nuit chez lui. Dès le dessert, les disques invitèrent à la danse. Marie et moi adorions danser, Claire ne détestait pas et aimait cette soirée.
    
    Claire fut invitée à la première série de slows. Je dansais avec mon épouse qui, un peu grise, se colla à moi langoureusement. Je remarquais que Claire tenait à distance son cavalier un peu trop chaleureux. Je me sentais jaloux de ce jeune enseignant.
    
    Après les slows, Claire revint vers nous et, imitant Sophie Daumier dans le sketch avec Guy Bedos, nous déclara :
    
    — C’est pas possible ce mec me colle, me colle. À la série suivante il va se croire obligé de m’inviter, Alain pourrait-il le faire avant lui ? Je peux pas ...
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