1. Séance de vaccination


    Datte: 16/11/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Clar, Source: Hds

    ... tandis qu’on lui enlève ses mi-bas. En un tour de main elle est nue. Elle comprend alors le bureau à l’écart, le chauffage poussé à fond. Des mains nerveuses parcourent son corps. Elle ne voit pas ses assaillants. Ils usent d’elle pour leur plaisir. Un doigt vient prendre possession de son sexe, bientôt rejoint par un deuxième. Ils entament un mouvement de va et vient, préparant le terrain. Deux autres doigts, appartenant à une autre main font de même dans son anus. Elle sent l’excitation croitre. Un des hommes la contourne. Il est nu. Elle croyait qu’ils s’étaient rhabillés. En fait, c’est le contraire. Il s’allonge sur le dos sur la table et attire l’infirmière sur lui. Elle sent la pointe de ses seins darder au contact du corps masculin tandis qu’un pieu durcit contre son ventre. Elle sent qu’on prend ses jambes et qu’on les écarte, de manière à libérer l’accès de son sexe. L’homme l’investit d’un coup, aidé par l’abondante production de cyprine. Il entame une chevauchée échevelée la maintenant aux épaules. Elle sent un cylindre chaud, luisant, se présenter à l’entrée de sa bouche. Elle ouvre grand la bouche. Il la pénètre, dur et doux à la fois, large et trapu, entamant lui aussi un va et vient. Le troisième se place derrière et présente son sexe à l’entrée du pertuis étroit. Il ...
    ... s’enfonce lentement. Lentement mais surement et entreprend de la limer. Clotilde est prise par les trois hommes. La pièce se remplit de halètements et d’une odeur de stupre. Le plaisir monte en elle. Un plaisir bestial. Prise par trois hommes, elle est réduite à être un objet de leur plaisir. Les trois ouvriers la taraudent, jouant de son corps offert. Ils sont là pour leur plaisir qu’ils sentent monter au fond de leurs reins. Ils accélèrent, s’enfoncent plus loin et les trois gaillards rendant les armes les uns après les autres dans un dernier coup de rein. Ils se retirent d’elle. Elle n’a pas encore joui et pourtant elle en crève d’envie. Sa main se porte sur son sexe, trouve son clitoris qu’elle caresse nerveusement. En quelques secondes, l’orgasme est là qui la terrasse. Elle crie longuement sa jouissance. Ils se rhabillent en silence. Les hommes quittent la pièce « Merci Madame, tu es trop bonne. Ahmed avait raison. Tu reviens quand tu veux. ».
    
    Clotilde redescend l’escalier. Elle se dirige vers sa voiture. Elle ressent encore le trouble de cette situation insolite, la brulure dans ses reins, le goût du sperme dans sa bouche. Ce plaisir animal avec trois hommes privés de sexe. Elle aurait pu se rebeller quand ils l’ont entreprise, mais elle s’est soumise à leur volonté et a aimé ça. 
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