Fellation par paliers
Datte: 10/02/2018,
Catégories:
fh,
fsoumise,
hdomine,
Oral
fgode,
double,
fdanus,
jeu,
sm,
attache,
BDSM / Fétichisme
yeuxbandés,
fouetfesse,
piquepince,
confession,
fsoumisah,
Auteur: Myhrisse, Source: Revebebe
... nouveau. Je pensais que son tableau était complet. À la manière d’un peintre, il a rajouté chaque touche, une par une, pour modeler son chef d’œuvre. Visiblement, il n’a pas encore terminé. Quelle couleur va-t-il désormais appliquer ? De quel outil va-t-il se servir ? Mon ventre et mon cul sont pleins. Mon sexe et mes seins sont ornés de pinces. Mes fesses et mes cuisses sont toujours chaudes du martinet. Que peut-il vouloir rajouter ? Cela ne lui suffit pas ?
La douleur des pinces dentelées, qui avait diminué, revient à la charge. Il s’amuse à les tirer, à les tordre. Je me tortille mais ça ne sert à rien. Je n’ai aucune possibilité de lui échapper. La souffrance augmente d’un cran. Je comprends qu’il a passé un crochet dans les boucles des pinces avant d’y fixer un poids. Les pinces, alourdies, tirent et étirent, blessant mes lèvres intimes. Je gémis et tente de bouger. Ma propre ondulation fait bouger le poids. Le mouvement de balancier ainsi généré augmente la douleur, faisant bouger les pinces qui étirent mes lèvres. La moindre tentative de lui échapper sera source de douleur pour moi. Il n’a plus besoin d’intervenir. Je dois rester stoïque pour limiter la souffrance. Comment réaliser ce miracle alors que je suis au milieu d’une tempête ?
Je me concentre. Je contrôle ma respiration, l’obligeant à ralentir, à se calmer. Je cesse de lutter contre cette souffrance pour la laisser m’envahir. Elle coule désormais en moi librement et je me sens mieux. Le plaisir ...
... m’envahit. Mon cri de souffrance, quand il accroche également un poids à la chaîne reliant les pincesJaponix, n’est pas trop fort. Je suis en paix dans la tourmente.
Il soulève ma tête et m’offre son sexe. Au moment où je me mets à vouloir le sucer, il agrippe mes cheveux et force les mouvements. Il m’ôte ma dernière poche de liberté. Il veut tout contrôler. Je dois tout lâcher et je m’offre sans restriction. Il va-et-vient à sa guise, jouant à son aise. Je suis son jouet. Les gorges profondes se succèdent. Je pleure sous le bandeau mais je reste concentrée. Hors de question de le décevoir ! Je ne m’oppose jamais à ses mouvements. Je veux qu’il soit fier. Il voulait en arriver là et je ne veux pas que tout ça ait été pour rien. Le finish se doit d’être parfait !
Je sens qu’il va venir. Va-t-il à nouveau se retirer ? Son œuvre est-elle enfin achevée ? Il grogne et m’empoigne, avant de s’enfoncer totalement. Il lâche ma tête mais je le garde en moi. Je sais que c’est ce qu’il veut. Qu’il me lâche me surprend cependant. Ne voulait-il pas maîtriser le finish ? Je comprends pourquoi quand une violente douleur irradie de mes seins. Il vient, d’un geste rapide et brutal, de m’ôter les deux pincesJaponix qui tombent sur l’assise de la chaise. J’aimerais pouvoir crier mais il a de nouveau saisi ma tête pour m’empêcher de me reculer. Il est au fond de moi et, malgré la souffrance, je ne dois pas bouger. Accepter, obéir, servir : voilà tout ce que je dois faire, et je m’y ...