Mon Histoire (1)
Datte: 16/11/2018,
Catégories:
Première fois
Auteur: NathOfferte, Source: xHamster
... la lingerie fine, ça l’excitait un peu mais sans plus. Le déclic est venu d’ailleurs. A l’époque, j’avais presque 30 ans, je travaillais comme assistante de direction dans une PME d’emballage. Le patron était un type plutôt sympa mais obsédé sexuel. Il plaisantait souvent sur le sexe, me demandant par exemple si j’avais été bien « baisée » le week-end, se proposait régulièrement pour « un petit coup vite fait » et moins classe, il me pelotait les fesses de temps en temps. Même si cela était fait sur le ton de la plaisanterie, je le repoussais à chaque fois et il n’est jamais allé plus loin. Un soir de semaine, une fois les enfants couchés, je discutais avec mon mari de mon boulot, et je lui racontais sans penser à mal que mon patron s’était moquée de moi alors que je mangeais une banane, genre « j’aimerais bien être à la place de la banane ». J’ai senti tout de suite que mon mari était choqué, troublé. J’ai d’abord pris cela pour de la jalousie car il m’a bombardé de questions sur sa façon de se comporter avec moi. Je répondais sincèrement sur ses blagues, ses propositions scabreuses et même ses mains au cul. Mon mari ...
... était tout émoustillé. Il m’a emmenée dans la chambre, m’a enlevé ma culotte et m‘a léchée toute habillée. Il continuait à me poser des questions sur mon gros cochon de patron en me léchant la vulve : « il t’a touché les seins ? Il t’a peloté la chatte à travers ta culotte ? Tu l’as vu bander ? Etc... ». J’ai joui sous sa langue et il m’a aussitôt prise de façon vigoureuse, presque brutale, lui d’habitude si doux. Il grognait et gémissait en me donnant des grands coups de reins et il a jouit bruyamment en se vidant en moi, lui d’habitude si discret. Je me suis couchée et j’ai dormi. Lui, m’a avoué n’avoir quasiment pas dormi de la nuit troublé par mes révélations. Le lendemain, de nouveau nous avons fait l’amour, en évoquant Jean-Pierre (mon patron) à nouveau. Mon mari toujours aussi excité. Il faut dire qu’il connaissait de vue Jean-Pierre, tout le contraire de mon mari qui est plutôt mince. Jean-Pierre, la 50aine a l’allure d’un bon vivant, costaud genre rugbyman. J’avoue que même si il était parfois très gênant pour moi d’évoquer la lubricité de mon cochon de patron, notre sexualité avait retrouvé tout son entrain.