1. Libertinage puritain


    Datte: 16/11/2018, Catégories: fh, fhh, religion, nympho, hotel, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation double, exercice, confession, Humour initiatiq, Auteur: Collectif Antilogies, Source: Revebebe

    ... réservant d’obtenir pour plus tard des caresses et des coquineries de toutes sortes.
    
    Le lendemain samedi, le repas du soir est particulièrement soigné. Puis, rendus dans notre chambre :
    
    — J’aimerais me confesser, mon chéri.
    — Très bien, installons-nous là, dit-il en prenant place sur une chauffeuse, viens sur mes genoux, tu pourras me dire ta confession à l’oreille.
    — J’ai surtout eu des mauvaises pensées ; par exemple, dans le catalogue La Redoute, j’ai vu de la lingerie si mignonne… Je te montrerai, tu verras. Hier au supermarché j’ai eu une envie folle, en attendant mon tour, de me servir de ces barres chocolatées mais j’ai résisté, mais c’était dur, tu sais…
    — Bien, quoi d’autre ?
    — L’autre jour, chez la coiffeuse, j’ai vraiment pensé à me faire faire des mèches, mais je ne sais pas si ça t’aurait plu, alors j’ai renoncé. Voilà, je ne vois rien d’autre à te raconter.
    — Parfait, ma chérie. Je te donne l’absolution et t’impose, en pénitence, de recevoir la fessée.
    — Holà ! Comme tu y vas ! Une fessée pour quelques innocentes pensées qui n’ont débouché sur aucune mauvaise action ?
    — Attends ! Je n’ai pas précisé quelle fessée ! Ce ne sera qu’une petite fessée puisque tes fautes sont vénielles.
    — Bon. Je te confie mon derrière mais attention à trouver le bon dosage, sinon ce sera ce soir ma dernière confession.
    
    Ainsi fut fait. Je me disposai à plat-ventre sur ses cuisses. Il n’eut qu’à retrousser ma nuisette et commença galamment par des caresses très ...
    ... douces et nombreuses. Puis vint la première claque, que je devrais plutôt qualifier de tape. Je m’obligeai à pousser un jappement mais en fait j’avais surtout envie de rire. Il me tapota les fesses une dizaine de fois, puis demanda :
    
    — Ça va ?
    — Oui, c’est supportable. Comme j’ai été un peu vilaine, tu peux taper un peu plus fort. Je te dirai quand ce sera devenu trop dur.
    
    Il reprit la fessée avec des claques plus fermes, et je goûtais fort la pénitence. J’eus même cette idée que, ce soir, je n’aurais pas besoin d’huile d’amande douce, ma vulve devenue bien accueillante cette fois.
    
    Nous fîmes l’amour comme jamais auparavant.
    
    Je mis en place, dans ma tête, tout un programme de formation sexuelle de mon mari. J’en avais beaucoup appris sur Internet. Mes « pénitences » allaient devenir autant de carottes à lui agiter sous le nez pour l’amener progressivement à me sucer le clito, futur couronnement de mon éducation libertine.
    
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    Soudain tiré de son assoupissement par un bruit d’étoffes froissées, le père François se raidit sur sa chaise. À travers la grille, c’est le parfum de la créature qui lui parvient. Une fragrance lourde et sucrée, avec, en arrière-plan, le musc troublant de rapports récents. Inutile de regarder sa montre, il sait quelle heure il est. Son heure… Suffisamment tard pour qu’aucun fidèle ne risque de les surprendre. Le prêtre soupire en faisant glisser le portillon derrière le grillage.
    
    — Pardonnez-moi mon Père, car j’ai ...
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