1. La guerre des deux frères - Partie 06


    Datte: 10/02/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byAgentChelateur, Source: Literotica

    ... cas et continua à la tripoter avec plaisir. Il la savait partagée entre la peur et l'espoir. Elle devait prier le ciel pour qu'il arrête son petit jeu et la laisse vierge par respect pour son fils. Il se pencha alors sur elle, passant ses mains sous son corps pour recommencer à lui exciter les tétons.
    
    - De toute manière tu finiras par donner ta petite fleur à un homme qui te dégoûte, lui susurra-t-il au creux de l'oreille. Alors autant que ce soit au maître de maison plutôt qu'à son larbin.
    
    Elle écarta les yeux devant le terme qu'il venait d'utiliser pour qualifier son fils et encore plus quand il se mit à rire de cette réaction. Il fallait bien qu'elle comprenne la hiérarchie dans cette famille. Gustav Uron était le maître, il prenait toutes les décisions et les autres ne devaient que se contenter de lui obéir en silence. Même si Gaël était son héritier, il ne pouvait y avoir qu'un seul chef de meute.
    
    Il libéra son sein droit pour amener sa main au niveau de sa braguette. Quand elle entendit le zip annonciateur de la fin de son innocence, elle témoigna de ses premières tentatives d'évasion. Malheureusement pour elle, en dépit de ses 60 ans passés, Gustav Uron restait une authentique force de la nature et dans la position dans laquelle ils se trouvaient, il avait toute latence de la maintenir en position de faiblesse. Il sortit son pénis, déjà bien tendu et commença à se masturber afin de s'assurer qu'il soit le plus raide possible afin que le petit bout de ...
    ... chair qui protégeait encore sa pureté ne constitue pas un problème.
    
    Il s'enfonça alors dans ses cuisses jusqu'à atteindre l'entrée de son antre d'amour. Il resta une seconde immobile pour profiter de sa tension. Elle avait renoncé à s'agiter mais sa respiration était devenue rauque et irrégulière. Sa peur était palpable et il s'en délectait. Les jeunes femmes dans son genre étaient un vrai plaisir pour ce pervers priapique tant elles se montraient incapables de dissimuler leurs émotions. Au comble de l'excitation, il donna un coup de rein puissant et, en une seconde, mit fin à son innocence. Aurélie écarquilla les yeux et ouvrit la bouche en un cri silencieux.
    
    Gustav Uron s'enfonça sans pitié dans ce vagin qu'aucun autre homme n'avait jamais exploré jusqu'à ce que son ventre vienne se cogner contre les fesses de sa victime.
    
    L'étroitesse de conduit encore vierge le grisa et il entama un mouvement de va et vient avec une pratique éprouvée de la chose. Ses coups de butoir devinrent tellement puissants que la jeune fille avançait de quelques centimètres à chacun de ses coups de reins et, de ses mains puissantes, il lui imposait de revenir à sa position initiale à chaque fois. Puisqu'elle était ignorante, il comptait bien être un professeur consciencieux dans l'art de savoir donner le maximum de plaisir à son partenaire. La jeune fille allait donc d'avant en arrière, ses seins menus s'agitant au même rythme que le pénis qui la transperçait. Elle murmurait des paroles ...