1. Valérie et Julietta se revoient


    Datte: 15/11/2018, Catégories: ff, amour, Auteur: Love Doctor, Source: Revebebe

    ... posèrent en même temps sur le soutien-gorge, empaumant mes seins. Je fermai les yeux de contentement ; mes pointes trahissaient mon excitation. Maintenant experts en la matière, ses doigts prirent possession de mes tétons à travers le tissu ; je me laissai caresser, j’adorais cela.
    
    — Bon anniversaire, ma puce !
    — Merci… dis-je d’une voix douce.
    
    Sa bouche mordillait mon oreille, me faisant frémir tandis que mes seins se tendaient sous ses caresses. Lentement, elle me poussa face au mur dans une position de soumise que j’affectionnais. Je sentais son corps se coller à mes fesses, et le contraste entre le tissu fin de ma culotte et la toile de son jean était troublant. Je me sentais à sa merci. Elle le savait, et allait en profiter.
    
    — Tu vas tacher la culotte, ma puce.
    
    Sa voix rauque me fit frissonner autant que les mots prononcés. Avant toute réponse de ma part, ses mains abandonnèrent mes seins pour faire glisser la culotte afin d’éviter toute souillure lubrique. Je l’aidai en soulevant les pieds ; j’étais maintenant uniquement vêtue de mon soutien-gorge. Les mains à plat sur le mur, j’attendais la suite, les yeux fermés. Des bruits de vêtements froissés me laissaient penser que Julietta se mettait à l’aise elle aussi. J’en eus la confirmation lorsque je sentis ses petits seins dans mon dos. Ses pointes dures que j’adorais câliner se frottaient contre ma peau.
    
    — Tu es folle, tentai- je de protester ; la vendeuse…
    — Elle ne viendra pas, rassure toi. Je lui ...
    ... ai dit que c’était pour une occasion spéciale, murmura-t-elle.
    
    Je gémis en sentant sa main se faufiler entre mes cuisses. Évidemment consentante, je me laissais aller à toutes ses audaces. Julietta frôla le haut de ma cuisse pour vite atteindre son but. Je dégoulinais sur ses doigts, mon clitoris hypersensible n’attendant que cela. Du pouce, elle le frôla rapidement, me faisant gémir de contentement. Plus rien ne comptait ; j’étais à ELLE. Je sentais sa respiration rapide dans mon cou qui traduisait son excitation. Mordant mes lèvres, j’essayais tout de même de taire mon plaisir pour ne pas alerter le monde entier. Sa main plaquée sur mon sexe me caressait avec tendresse et force à la fois. J’aurais aimé que ce moment durât des heures ! Mais ce fut bientôt impossible de me contenir plus longtemps quand Juliette me pénétra de deux doigts
    
    — Humm…
    
    Je me tendis comme un arc. Elle connaissait maintenant mes points faibles et jouait avec moi comme un musicien avec son instrument. Mon bassin allait au-devant de sa main, et le bruit humide de mon sexe ajoutait à l’érotisme du moment. Elle accéléra le mouvement de piston comme un amant l’aurait fait, ralentissant quand mes cris devenaient trop aigus, pour repartir de plus belle sans me laisser respirer. Je sentais la jouissance poindre son nez puis refluer avec désespoir. Je capitulai bientôt et l’encourageai en me ruant furieusement au-devant de ses caresses.
    
    — Viens… la suppliai-je.
    
    Ses doigts reprirent leur rythme ...