Soumise
Datte: 15/11/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Le Matou libertin, Source: Hds
Lorsque je me suis mariée à vingt ans avec le fils d’un couple d’amis de mes parents plus vieux de quatre ans, je ne connaissais pas grand choses en matière de sexe.
Au lycée, j’avais un peu flirté avec des copains puis lors d’une soirée d’anniversaire, l’un d’eux avait pris mon pucelage avec beaucoup de douceur. J’ai couché avec lui à plusieurs reprises avant mon mariage mais, bien qu’il sache s’y prendre pour me faire l’amour, je n’étais pas trop attirée par les choses du sexe. Cela a continué avec mon mari avec qui je remplissais mon devoir conjugal (comme dit l’expression) sans grand enthousiasme. Nos rapports se sont progressivement espacés jusqu’à ce que je sois enceinte de notre premier enfant.
C’est après l’accouchement que ma vie sexuelle a basculé. Serge, mon mari à qui j’avais refusé tout contact depuis plusieurs mois, est arrivé un vendredi soir dans notre chambre où je venais de me mettre au lit après m’être occupée de notre fille. Sur le moment, je n’ai pas compris pourquoi il avait avec lui les ceintures de nos peignoirs de bain. Il s’est penché sur moi et m’a embrassée amoureusement en me prenant dans ses bras. Je me laissais faire en disant que j’exagérais de me refuser encore une fois.
Quelle ne fut pas ma surprise lorsqu’il a attaché mes poignets au montant du lit. Je ne pouvais plus le repousser. Ensuite, il a ouvert brusquement ma nuisette, l’arrachant à moitié pour venir peloter mes seins gonflés par le lait maternel, les embrasser en ...
... mordillant les tétons.
Il était doux et violent à la fois. Puis il a rejeté les draps en montant sur le lit. D’un geste énergique il a écarté mes jambes, ouvrant mon compas au large. Il a mis une main sur ma chatte, faisant aller deux doigts dans ma fente. Immédiatement j’ai senti que mon sexe s’humidifiait alors que d’habitude, il fallait de longs préliminaires pour arriver au même résultat.
En levant la tête j’ai vu que sa bite était dressée, dure, impérieuse. Je ressentais les prémices du plaisir. Alors que je ne pouvais bouger, Serge a plongé son dard dans ma chatte en m’éperonnant vigoureusement, son pubis collé au mien. Je n’avais rien ressenti de pareil jusqu’à ce jour. Mon bassin allait au devant du sien lorsqu’il me pénétrait de plus en plus vite, de plus en plus vigoureusement.
Alors que je ne m’y attendais pas (et je n’ai rien pu contrôler) ma jouissance est arrivée, soudaine, violente comme je n’en avais jamais connu.
Sans avoir joui, Serge s’est retiré. Son sexe était toujours aussi triomphant. Il a détaché mes poignets pour me faire mettre en levrette, nouant à nouveau les ceintures pour emprisonner mes avant bras. Une fois encore j’étais à sa merci. Je lui dis :
• Pas comme çà ! Tu exagères !
• Si ! Tu vas voir ! Je vais te baiser comme une chienne ! Tu m’as trop fait attendre !
Comme je tentais d’échapper à la pénétration en descendant le plus bas possible, il a commencé à me donner des grandes claques sur les fesses en me disant que j’allais ...