1. CFNM à l'université Chapitre 25


    Datte: 15/11/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: byOmegaNu, Source: Literotica

    ... veut de moi depuis si longtemps, dire qu'elle me détestait avant l'université.
    
    — Tu vas faire comme pour Stéphanie votre première fois, je veux que tu embrasses chaque millimètre de mon corps pendant au moins une heure, et alors, tu iras avec ta langue en moi.
    
    Elle a un regard trouble, et je la bouge pour qu'elle soit étendue sur le lit. Alors, j'embrasse ses lèvres, et son visage, elle ferme les yeux. Son bassin ondule déjà, comme un appel à mon sexe, elle frotte parfois ses cuisses, pour se donner un plaisir toute seule.
    
    Je peux rester très longtemps à embrasser Stéphanie ainsi, un petit baiser, un petit coup de langue, une succion, elle devient folle, et je fais durer le plaisir, j'embrasse ses seins, mais surtout toutes les autres parcelles de son corps que les garçons oublient toujours, je suis là pour elle, uniquement pour elle. Quand j'arrive à son entrejambe, je ne fais que passer autour, elle a un très bon vagin, une fente toute lisse, aucun poil, rien qui ressort. Elle sent très fort, elle est excitée, j'embrasse aux alentours, doucement, longuement, puis je descends pour continuer ma route jusqu'à ses pieds dont je m'occupe jusqu'à sucer ses doigts de pieds. Alors, je la retourne sur le ventre et remonte, j'embrasse ses belles fesses charnues, divines, nulle part n'a-t-elle un défaut, c'est un corps de déesse comme celui de Stéphanie. Je ne veux laisser aucun endroit, et je peux être patient, dans un cas pareil, concentré comme je le suis, je peux ...
    ... continuer des heures, c'est elle qui m'arrête et qui me supplie d'aller entre ses cuisses.
    
    Elle est allongée, dans un état second, je vais alors entre ses cuisses, doucement, je l'énerve de quelques soufflements sur ses lèvres que j'ouvre, j'aperçois son clitoris déjà gonflé, et lentement, doucement, je pose mes lèvres dessus, c'est comme une décharge électrique. Je continue doucement jusqu'à ce qu'elle me demande fermement d'entrer ma langue en elle.
    
    J'adore son goût, j'adore son parfum. Depuis que l'on m'a fait découvrir le cunnilingus, j'adore cela, Stéphanie en profite tout le temps, elle aime se réveiller ainsi. Je suis maître de l'art, surtout grâce à un cours d'une fille plus âgée lorsque j'allais arriver à l'université, elle avait pris soin de moi, j'avais dix-sept ans, elle en avait vingt-cinq ou vingt-six, elle m'avait démontré qu'en fait, malgré mon expérience, je ne savais rien, je ne savais pas baiser. En un week-end, j'étais devenu un champion, toute modestie mise à part.
    
    Marie-Dominique empoigne mes cheveux, ils sont courts, elle tire, les enroule entre ses doigts, elle crie, les sons me parviennent un peu étouffés grâce à la moiteur de ses cuisses douces qui sont serrées sur mes oreilles. Lentement, je passe mes mains sur son corps et remonte pour empoigner ses seins. Quels gros seins, bien fermes, elle crie encore plus fort, se tend lorsque je joue avec ses tétons.
    
    Ma langue et ma bouche sont actives sans arrêt, je la sens jouir plusieurs fois, de petits ...
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