1. L'esclave de Maman 03


    Datte: 14/11/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: bymafe, Source: Literotica

    ... je regarderai simplement ma braguette danser alors que maman parle vigoureusement avec les mains, et je tenterai de ne pas attirer l'attention sur celle-ci pour ne pas être bien plus humilié.
    
    Jusqu'à ce que, sur un ton un peu plus fort, Catherine s'exclafe "Ah oui, ahah, tu l'as attaché au poignet!", ma mère pouffe, son amie d'ajouter "Moi c'est au talon de ma chaussure. Ainsi, à chaque pas que je fais, ça le tient éveillé". Soudain, ça semblait plus clair pourquoi il avait obéi de suite lorsqu'elle a frappé le sol de son talon et pourquoi elle se tenait appuyée étrangement contre l'étalage.
    
    A peine avais-je compris que Catherine donna un coup de talon sur le sol, je vis Thibaut se baisser pour ramasser les paniers, et je fis de même. Alors que nous nous quittions, je ne pus m'empêcher de me dire que je n'étais pas le seul à vivre cet interdit, ce tabou; Thibaut aussi. Et qu'en pense-t-il? Comment le vit-il? Catherine est-elle plus cruelle que maman? Combien d'autres bons garçons sont l'esclave dévoué de leur maman?
    
    Perdu dans mes réflexions, je ne voyais pas que maman s'était arrêtée devant la voiture et attendait que je rampe du siège conducteur vers le siège passager une fois mes courses mises dans le coffre.
    
    On ne parlait pas sur le chemin du retour, mais je me sentais soudain plus à l'aise dans mon rôle. Je me disais que, peut-être, Thibaut appréciait aussi certains moments, tout comme moi. La tendresse du visage de maman, quand elle constate que ses leçons ...
    ... d'éducation portent leurs fruits, que mon seuil de tolérance à la douleur s'est améliorée, quand je lui offre un orgasme bucchal sur le divan ou un bon repas dans la cuisine. Peut-être que lui aussi, au final, est heureux ainsi.
    
    Je me sentais plus léger, plus à l'aise, et l'érection me venait malgré l'étranglement du fil de pêche.
    
    J'étais dans l'entrée avec les sacs, ma mère me lançait alors un froid "C'est dur!", "Pardon maman?", répliquais-je. "Je sens ton sexe, il est moins maléable, plus rigide à travers ton pantalon. Je le voyais sur la route, tu n'as rien dit, tu connais la règle". Elle me sourit pendant que je posais les paniers sur le pas de la porte et commençait à me déshabiller alors qu'elle n'était qu'entrebâillée. Maman attendit que je sois complètement nu pour la refermer. Je vis alors mon gland tout bleu et mon érection à moitié étouffée par l'encordement.
    
    Pas le temps de m'y attarder, maman me lance un "Viens avec moi!", comme si je pouvais faire autrement. Je me baisse pour empoigner les sacs, elle empoigne le fil pour le raccourcir. Je me redresse sec par le tiraillement, mais la voilà déjà partie vers l'escalier avec mon pénis et mes testicules nus et exposés que ma mère allonge. Je la suis donc à grandes enjambées dans l'escalier. La douleur est ignoble; je la supplie de déserrer mais mes suppliques ont juste droit à des "tsss" de sa part, froids et égaux. Je pense même qu'elle prend plaisir à ralentir dans les escaliers mais le pincement est trop ...
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