Sabrina: Un Concert Qui Tourne Mal
Datte: 14/11/2018,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bygophil72, Source: Literotica
J'avais depuis plusieurs mois des vues sur une de mes collègues, Sabrina, je la connaissais depuis plusieurs années et nous étions amis, mais je n'arrivais pas à trouver l'ouverture pour aller plus loin avec elle : elle était marié avec 3 enfants, et toujours amoureuse de son mari!
J'avais découvert que Sabrina allait à son cours de danse le samedi matin, un peu avant midi. Je me débrouillai pour la croiser "fortuitement" à la fin de son cours, derrière le Lieu Unique, sous prétexte d'aller chercher le programme de la Scène Michelet. Elle était enchantée de me rencontrer, comme d'habitude, et je lui proposai d'aller boire un coup pour se rafraichir après son activité, ce qu'elle accepta. Elle avait peu de temps puisqu'il fallait qu'elle rentre manger, mais m'accompagna tout de même.
Nous nous installâmes en terrasse d'un café, et discutions tranquillement. J'en profitais pour feuilleter le programme de la Scène Michelet, et repérai un concert des Hurlements de Léo 15 jours plus tard : J'en fis part à Sabrina, lui vantant les mérites de ce groupe écouté à Lyon quelques années auparavant, et je lui proposai d'y aller ensemble, si elle le souhaitait. Elle me dit qu'elle vérifierait son agenda, mais pourquoi pas!
Nous nous quittâmes vers 12h30, et rentrâmes chacun chez soi.
La semaine précédant le concert, je fus surpris qu'elle me contacte par chat d'elle-même, pour me confirmer qu'elle serait disponible pour le concert des Hurlements de Léo. Je m'attendais à ce ...
... qu'elle ait oublié ma proposition, et ça me paru être un bon présage! Je lui rappelai l'horaire, et lui proposai de se retrouver directement à la Scène Michelet. Je lui laissai également mon numéro de portable.
Le samedi soir, je négociai le concert avec mon épouse, qui était ok. Peu de temps avant de partir, je reçu un SMS de Sabrina me demandant si je pouvais passer la prendre chez elle, elle n'avait pas pu (ou essayé de) motiver qq'un d'autre chez elle pour y aller. Je confirmai que je passais la chercher, et terminai de me préparer.
J'étais un peu intimidé, et j'essayai de me calmer en roulant vers chez elle. J'arrivai devant chez elle : le portail était ouvert, et il n'y avait dans l'allée que la voiture de sa fille et le Picasso blanc, le monospace de son mari Stéphane était absent.
Je sonnai à la porte, et je fus accueilli par sa fille aînée, Marie, que je n'avais encore jamais rencontré : elle avait la classe de sa mère, grande et mince, avec de longs cheveux châtains. Elle portait un débardeur jaune pâle, assez large et décoletté, qui masquait une poitrine que je devinais de toute beauté. Elle me fit entrer, m'indiquant que sa mère finissait de se préparer, et me devança dans le salon. Son short en jean bleu clair mettait en évidence un fessier ferme, et ses longues jambes bronzées. En attendant sa mère, nous discutâmes dans le salon, à propos de son bac réussi brillamment, de la suite de ses études, de son voyage en Grèce, et de ses vacances à l'île d'Oléron. ...