1. Jouissances familiales tumultueuses (1)


    Datte: 13/11/2018, Catégories: Hétéro Auteur: Phantome, Source: Xstory

    ... sont bien taillés de chaque côté de sa vulve et ses lèvres sont légèrement ouvertes, révélant un soupçon d’humidité derrière elles.
    
    Nos yeux restent accrochés un long moment et elle ne semble pas être en colère ni gênée par sa nudité que je contemple impunément.
    
    Ses yeux se promènent lentement sur mon corps en s’attardant sur mon entrejambes pendant quelques instants avant de remonter vers mon visage avec une lueur d’amusement en voyant l’effet qu’elle a sur moi, et sa bouche esquisse un sourire me laissant apercevoir ses dents très blanches derrière la douceur de ses lèvres roses. Je souris un peu crispé, et sous un faible gémissement je recule, en la voyant se pencher pour fermer très lentement la porte.
    
    Je m’assieds dans le salon pour l’attendre et m’excuser avant de partir. Mon esprit est rempli de la vision que je viens de voir... sa peau dorée, ses seins pulpeux et sa chatte légèrement poilue et …ses yeux gris bleu alors qu’elle m’observait entrain de regarder son petit sexe rose et humide, légèrement ouvert.
    
    J’entends ses pas qui viennent vers moi. Ses cheveux, encore humides, sont attachés en queue de cheval et je la regarde avec un air que je voudrais coupable.
    
    — Je suis désolé, Mademoiselle, Je…je ne savais pas que vous étiez là. J’ai été surpris.
    
    Elle s’arrête et me regarde en disant.
    
    — C’est ce que j’ai vu. Mais vous avez pris du temps à vous remettre de votre surprise… je me prénomme Zeïa…et vous ?
    
    — Heu… Bob. Je suis vraiment ...
    ... désolé.
    
    Elle se penche vers moi.
    
    — Désolé pour quoi, Bob, pour ce que vous avez vu de moi ou pour être resté comme sale pervers à mater une fille à poil ?
    
    — Je ne suis peut être un pervers, jeune fille! Vous avez eu peur ?
    
    Elle se met à rire.
    
    — Oui, monsieur, surtout quand j’ai vu de la bave coulée sur votre menton.
    
    Je ris avec elle et j’ajoute.
    
    — De toute façon c’est de votre faute !
    
    — Quoi ! Vous ne manques pas d’air !
    
    — Et bien… si vous n’étiez pas si belle et désirable je serais resté moins longtemps.
    
    — Vous êtes bien un vieux pervers !
    
    Et avant que je puisse répondre elle s’est sauvée rejoindre ses amis.
    
    ***************
    
    Je ferme mes yeux et je revois les lèvres gonflées de sa petite chatte et … l’orifice fermé derrière elle, entre les fesses.
    
    J’imagine mon corps pressé contre cette jeune chair humide, son jus qui goutte comme du miel liquide et ma bite qui se redresse rapidement, vers mon ventre alors qu’elle m’observe. Mon gland pourpre distendu et gonflé laisse échapper une goutte de liquide claire comme une perle issue de mon excitation. Mais je vois aussi son regard, sa peur, en découvrant mon gros sexe, énorme, hors norme. Un gland de presque 5 cm de largeur et une queue de plus de 20 cm en pleine érection !
    
    C’est pour moi un problème quand je rencontre une femme. J’ai 32 ans, sportif et bien bâti, pratiquant le judo avec quelques palmarès à mon actif. Je dirige une société que ma légué mon père et j’ai un beau train de vie. Je plais ...