1. Par la fenêtre


    Datte: 13/11/2018, Catégories: Anal Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Auteur: JohnDuff490, Source: xHamster

    Je ne sais pas pourquoi je me suis réveillée au milieu de la nuit. Il faisait chaud, j’étais blottie contre mon mec. Je m’extirpais doucement en tâchant de ne pas le réveiller. Le chat qui sommeillait sur le lit me suivit en miaulant doucement.
    
    J’enfilais me nuisette plutôt transparente qui avait bien du mal à dissimuler deux seins lourds. Je marchais pieds nus jusqu’à la cuisine, allumais une applique et entrepris de boire directement au goulot. La fenêtre du voisin en contrebas était éclairée. J’ai toujours adoré vivre en ville avec la multitude de fenêtres offertes à ma vue. On pouvait y découvrir des tranches de vie, le plus souvent sans grand intérêt, mais j’aimais ce théâtre muet du quotidien. Parfois on tombait sur une dispute ou un baiser langoureux, le jackpot. J’avoue une certaine tendance au voyeurisme.
    
    Le voisin en question était plutôt beau gosse, assez grand, musclé, mais pas trop, le cheveux toujours décoiffés à la surfeur et d’une classe folle. N’allez pas croire que je voulais tromper mon mec, je l’adore, mais on a bien le droit de regarder pour le plaisir, non ? Sa fenêtre, je savais pertinemment où elle était car c’était toujours la première que je zieutais en passant, mais la plupart du temps, on ne pouvait y voir que des épais rideaux masquant la vue. Pas cette fois. Il était presque minuit et je l’aperçus se retourner avec deux verres à la main. Il était vêtu tout de noir.
    
    - Tiens, me dis-je, il a de la visite…
    
    En effet, sur le canapé en ...
    ... cuir marron, façon Chesterfield, une jolie brune et bouclée était langoureusement affalée. Si mon mec était là, il dirait : « ça sent le cul ». Moi, je décidais de m’installer sur le rebord de la fenêtre avec ma nuisette remontant sur mes cuisses et mon sein gauche qui cherchait à s’évader de sa prison de polyester noir.
    
    Pour une fois qu’il y avait du spectacle… Et puis, le sommeil avait pris la poudre d’escampette. Le chat sauta lestement sur moi et s’affala sur mon ventre. Je le caressais distraitement.
    
    L’homme était retourné s’asseoir vers sa conquête en lui tendant un verre plein d’une substance tirant sur l’ambre. Un whisky, sans doute. La poupée attrapa le présent en lui souriant. Une bretelle glissa le long de son épaule, manquant de dévoiler son sein droit qu’elle avait fort menu. Manifestement, elle ne portait pas de soutif. Je l’enviais car mes obus rendait la chose plus compliquée, mais bon, cela avait aussi des avantages, pensais-je en pensant aux moments où mon mec s’en emparait goulûment. Il les adorait et savait s’en servir.
    
    Cette pensée provoqua en moi une excitation qui réchauffa mon entrejambe. Avec mon doigt, je vérifiai qu’il ne s’agissait pas d’une impression. Il était tour luisant de ma douce cyprine. Je n’avais jamais été du genre à me caresser. Quand j’avais besoin de sexe, je sortais et trouvais un sex-toy vivant. Maintenant, je vivais avec, ce qui est tout de même plus pratique.
    
    Mon voisin s’était assis à côté de son invitée, presque collé. ...
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