LE STAGE. (2/2) - Histoires de Sexe

LE STAGE. (2/2)

... réponse.

• Ok, attends, j’arrive.

Le téléphone reposé je prends le contrat et, en fait des confetti.

• La pute elle te salue, j’ai mieux à faire que de jouer petit bras avec des salopards comme vous.

Je quitte le bureau.

Deux ans passent.

• Bonjour Claude surpris de me voir ici dans cet appartement ?

• Alexandra que me veux-tu, si tu cherches à te venger, j’ai tenu la tête hors de l’eau pendant quelques mois grâce à de petites commandes pour faire tourner mon entreprise mais depuis quelques semaines plus rien et je viens de vendre à un groupe français.

Ils m’ont convoqué à New York me payant mon voyage et je me retrouve dans cet appartement devant toi.

• Bien sûr, cette boîte française m’appartient et c’est mon avocat qui t’a donné ce billet.

• Je suis dans le brouillard, tu vas me tuer pour te venger de ce que je t’ai fait.

• Me venger d’avoir fait de moi une pute, tu es malade si tu es là, c’est pour que je te récompense.

Il me regarde d’une façon incrédule.

• Si tu as fait de moi une fille qui couche pour arriver avec ta salope de secrétaire, paix à son âme celle-là, depuis que je t’ai obligé à la licencier, elle pointe régulièrement au chômage, mais si tu es un gentil toutou, je te permettrais de la reprendre pour balayer ton bureau, pardon mon bureau.

Je t’autoriserais peut-être à la sauter de nouveau, car c’était ta maîtresse, inutile que je te montre les preuves visuelles qu’un détective m’a apportées dans les semaines qui ont ...

... suivi mon mariage ici à Houston.

A oui, mon mariage, quand j’ai déchiré le contrat que j’avais tiré à Bill, tu as vu que je l’avais appelé, il m’a confirmé sa proposition de m’épouser malgré ses cinquante ans et mes dix-neuf ans.

Il y avait huit jours que j’avais convolé quand un adjoint de mon mari est venu à notre domicile pour lui apporter les papiers lui étant nécessaire dans une affaire.

Il était beau et sentait le sable chaud, il m’a fait un compliment, mon côté salope est venu lui prendre la queue et il m’a baisé me faisant prendre un pied terrible.

C’est à ce moment que Bill est entré et que je l’ai vu faire la carpe, son visage était figé et j’ai rapidement compris que quelque chose n’allait pas, j’ai laissé mon orgasme se terminer avant de faire venir les secours.

À ce moment j’ai pensé à toi, j’étais à la hauteur de la garce que tu avais dû déceler en moi.

J’ai été inquiété, car au début des responsables de mon mari ont trouvé bizarre que son attaque ait eu lieu aussi près mon mariage, mais Bill avait déjà eu deux alarmes et cette dernière a été considérée comme naturelle.

• Est-il mort ?

• Non, je le chouchoute, tu penses mon petit amour qui me permet de valoir plusieurs millions de dollars, il est ici dans la chambre avec sa nourrice qui s’occupe de lui comme un enfant.

En passant, l’amant qui était dans ma chatte quand Bill est entré, tu le connais, c’est lui qui est venu acheter la première machine qui t'a maintenue à flot, il en est ...