La gérante de la galerie d'art (17)
Datte: 12/11/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Docsevere, Source: Xstory
... même elles me brûleraient à mort, votre gros cul sera en feu avant que je ne puisse plus le supporter.
Allez, à genoux sur ce fauteuil ! En piste, en position ! Je vous promets que vous allez recevoir la fessée de votre vie, je vous garantis que vous allez être fessée comme vous ne l’avez jamais été, je vous promets que vous allez me supplier, appeler votre mère et tous vos aïeux, me demander grâce, pleurnicher comme une gamine, vos larmes vont couler, et j’espère bien entendre des sanglots avant que j’abandonne ces grosses masses fessières ! »
L’air grave, la grande et imposante femme se plaça à genoux, cuisses écartées, sur le fauteuil de style. Ses seins lourds et mous, comme des pendeloques, comme deux grosses boules de Noël, reposaient sur le haut de son ventre et me firent bander.
Je me régalai à l’avance rien qu’à l’idée de les voir se balancer en cadence tandis qu’elle tortillerait convulsivement ses reins sous les claques qui allaient pleuvoir comme une drache sur son large postérieur !
Je me plaçai derrière elle. J’étais debout et sa large mappemonde était juste à la hauteur de mes mains : j’allai ainsi pouvoir la fustiger sans me fatiguer.
La peau de ses gros hémisphères presque carrés avait déjà viré de leur teint légèrement basané au rose bien vif.
Mais je m’apprêtais à les faire virer au rouge sang !
Je commençais à les claquer l’un après l’autre, en alternant main droite main gauche, et je voyais ces joyeuses masses adipeuses valser de ...
... droite et de gauche, et revenir en place par élasticité, à un rythme lent.
Mes mains bien ouvertes touchaient le maximum de surface, comme des battoirs, et ne lui arrachaient au début qu’un petit soupir, un cri étouffé à chaque fois.
Puis je me mis à accélérer et à lui imposer une cadence plus soutenue, m’efforçant de bien couvrir toute la surface des grosses chairs.
De temps en temps je claquai en même temps les deux fesses, en synchronisant mes mains d’un mouvement parfait. Puis je reprenais l’alternance, ce qui avait comme effet d’accélérer la cadence de cette fessée.
Elle subissait bien docilement, redressant parfois les reins mais je lui ordonnais aussitôt de se cambrer à nouveau au maximum, d’offrir bien sa croupe, de la tendre vers moi et ne plus essayer de se soustraire à la punition, que, je lui rappelais, elle m’avait demandé avec gourmandise.
« - Alors, » demandais-je, tout excité par l’exercice et le spectacle de cette femme mûre mafflue, soumise et si docile, « vous appréciez ?! Vous avez ce que vous avez voulu ?! C’est ça que vous vouliez ?! C’est comme ça que vous espériez être traitée ?!
— Oh… oui » gémissait-elle, presque haletante.
Je me mettais de temps en temps de trois quarts, lui attrapait le sein de ma main gauche, et tout en le pétrissant vulgairement, tout en le pelotant sans pitié, ma main droite continuait à administrer une cuisante claquée sur la fesse gauche.
Puis je me repostai derrière et reprenais mon office.
Je faisais ...