1. La gérante de la galerie d'art (17)


    Datte: 12/11/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Docsevere, Source: Xstory

    ... âge !
    
    La maîtresse de maison qui a enlevé son gode-ceinture assiste à cette séance lubrique, et comme une metteuse en scène ou un chef d’orchestre, semble diriger tout le monde.
    
    Elle est terriblement excitante, debout, avec ses hautes cuissardes ; et alors qu’une bonniche à genoux lui bouffe la chatte par devant, elle a sans cesse une queue dans chaque main qu’elle branle lentement… une vraie reine !
    
    Aussi, quand gémissant, la tête en arrière, elle réclame qu’on lui bouffe le petit, c’est avec honneur que je mets à genoux derrière sa croupe, lui écarte doucement les fesses et lui lèche sa petite rondelle avec application.
    
    Même pas une minute de ce traitement et elle se met à jouir à grands bruits, éclaboussant de cyprine expulsée avec force le visage de la servante mûre qui n’en perd pas une goutte : elle doit avoir l’habitude, la bougresse !
    
    J’avoue que j’enculerais bien cette belle femme dominatrice, mais en tant qu’hôtesse et maîtresse du jeu, elle n’y consentirait pas, et cette faveur ne doit être accordée qu’à ses courtisans et plus serviles admirateurs, et encore.
    
    Trois quarts d’heure plus tard, j’aidai Jenna à se relever, en véritable gentleman. Elle n’était plus vêtue que de ses bottes. Son anus était béant et dégoulinait de foutre.
    
    Elle avait du sperme sur le pourtour de la bouche ainsi que sur ses gros seins. Ces messieurs, en effet, ne s’étaient pas gênés pour la souiller de toute part et pour se soulager dans sa gorge. Elle avait beau eu ...
    ... déglutir, ils s’étaient succédé tellement vite qu’elle n’avait pas pu tout avaler.
    
    Je l’accompagnai dans une salle de bain que les maîtres de maison, dans leur grande bonté, et un peu touchés par l’état pitoyable dans lequel elle était, avait laissé à sa disposition.
    
    Elle s’étonna que je n’eusse pas pris de photos.
    
    Je lui expliquai que j’avais été moi aussi bien occupé, et que, franchement ça aurait été un peu déplacé, et qu’il m’aurait fallu obtenir le consentement de tous ceux qui auraient risqué de se retrouver en photo (le droit à l’image, vous comprenez) et vu le statut social des participants à cette soirée, je pense qu’ils n’auraient pas apprécié.
    
    Elle sembla presque déçue ; j’étais touché par son espèce de candeur ou de naïveté, je ne sais pas.
    
    Au sortir de la salle de bain où je l’avais conduite, je fus surpris de voir Madame la sous-préfète qui semblait m’attendre, avec un grand sourire. Elle avait dû apprécier mes doigts lui fouaillant le cul et comment je m’étais vidé dans sa bouche alors qu’elle était de service « toilette ».
    
    Nous discutâmes très civilement, comme deux personnes du monde, et elle orienta imperceptiblement la conversation vers la fessée. Je ne m’étais rendu compte ni comment ni pourquoi notre discussion avait glissé vers ce sujet. Mais je commençais à comprendre.
    
    Je lui demandai si elle appréciait. Elle me dit que oui, que c’était un peu son péché mignon.
    
    Je lui répondis qu’avec de pareilles fesses elle était bien servie et que ...
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