Connaissance avec Monique, l'amie d'enfance d' Annie...suite et fin - Histoires de Sexe

Connaissance avec Monique, l'amie d'enfance d' Annie...suite et fin

... ma chérie et l'autre tenant toujours son sein de répondre qu'elle le savait depuis le temps qu'elle les caressait, les suçait, Annie passa ses mains sur le ventre, les hanches, plus bas les doigts écartèrent les lèvres, Annie fit remarquer que son amie mouillait encore plus, que cette dernière adorait être exhibée, vanta l'hospitalité de sa chatte et sa douceur, elle y planta deux doigts tandis que deux doigts l'autre main pressaient le clito, le faisaient rouler, j'avais encore jamais vu un clito aussi gros, effet immédiat sur Monique, sa respiration s'accéléra, les yeux clos elle passait sa langue sur ses lèvres, puis s'adressant à Monique dit qu'elle était cruelle, qu'elle aimait la faire languir, qu'elle voulait de la bite, elle ouvrit les yeux me regarda et dit comme une supplique "baise moi".

Annie conduisit Monique jusqu'à la table, cette dernière s'y allongea, Annie lui écarta les jambes, me fit signe de les rejoindre, devant moi, Monique attendait, offerte, sourire aux lèvres, mamelles tenues dans ses mains, la chatte ouverte et luisante que je la prenne.

Annie se pencha vers elle, l'embrassa et lui dit "ma chérie, tu veux de la bite tu vas en avoir, Phil va te prendre par tous tes orifices, puis se serra Jean puis ton homme, si je ne les ai pas trop fatigué, je suis aussi pute que toi" puis s'adressant à moi " défonce ma copine mon chéri mais garde en pour moi".

J'attrapa Monique par les hanches pour l'approcher du bord de la table, fit coulisser ma queue ...

... sur sa chatte et la pénétra, ma partenaire poussa un oui de satisfaction, je me tournais et voyais Annie à genoux suçant tantôt Roger, tantôt son mari.

J'alternais, temps forts, temps lents, j'étais comme un enfant jouant avec son cadeau de Noël, mes mains couraient partout, saisissaient les grosses mamelles de la salope que je besognais tout en lui enfonçant un doigt dans le cul, je recueillais de la mouille sur mes doigts pour qu'elle les sucent quand c'était pas ma queue trempée de cyprine qu'elle dégustait, tout comme le doigt sortant d son cul, la salope de Roger aimait tous les traitements, Annie aussi, elle faisait prendre en double, assise sur Jean qui lui prenait la chatte, Roger en renfort, car Jean était beaucoup membré que nous, la lui prenait en même temps ou la sodomisait pendant qu'elle suçait Jean, ma déesse était magnifique.

Monique ne cessait de jouir, réclamant des pénétrations toujours plus puissantes, elle voulait être défoncée.

Je la fît mettre sur le dos puis petit à petit pénétrait son cul jusqu'aux couilles, sa main les caressa comme pour s'en assurer, ma bite ainsi figée elle éructa un "putain que c'est bon, il m'encule jusqu'aux couilles, Annie"

Sur ce, Annie répondit que son mari aussi est dans son cul, que Jean venait de s'y vider.

Monique, alors, qu'elle venait de jouir réclamait que je la sodomise encore plus fort, Roger me demanda si sa pute était bonne, pour réponse, "elle est parfaite, je suis dans son cul elle en veut encore ...