1. COLLECTION HISTOIRE COURTE. Canicule et piscine (1/1)


    Datte: 12/11/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... saurais voir.
    
    - Alors voisin, c’est comme ça que l’on fait la cour à une dame en la pelotant d’entrer.
    
    Il faut que je reconnaisse que cela a été fort agréable.
    
    Ne vous noyez pas, ça serait dommage.
    
    La stupeur de m’apercevoir que la propriétaire de la piscine est là ayant eue la même idée que moi, une fraction de seconde je bois la tasse.
    
    Je préfère le Ricard ou le rosé avec des glaçons.
    
    Reprenant pied, je crache l'eau avalée.
    
    - Marie, Steve n’est pas avec vous.
    
    - Je ne l’ai dit à personne, Steve m’a quitté il y a plus d’une semaine, je suis seul dans ma maison.
    
    - Il t’a trompé.
    
    Je me rends compte que je viens de la tutoyer.
    
    - Si je te disais avec qui il est parti, tu serais étonné.
    
    - Trop chaud malgré l’eau qui nous entoure, dit moi.
    
    - Julien son copain, j’ignorais que Steve aimait les hommes.
    
    Insidieusement est-ce l’eau qui me porte, Marie se rapproche de moi.
    
    Elle fait la grenouille, moi aussi.
    
    Qui d’elle ou de moi réduit la distance ?
    
    Ce qui est certain c’est que ses seins sont de nouveau à porter de ma main qui ne se prive pas ce coup-ci de l’empoigner sans sentir la moindre résistance.
    
    Ses seins sont deux fois plus gros que ceux de Sandra.
    
    À la différence de Sandra plus vieille ils ne tombent pas encore.
    
    Sa bouche trouve la mienne, ses bras entourent mon cou et je sens son bas-ventre s’appuyer sur le mien.
    
    À quelle température peut être l’eau de la piscine qui a été chauffée depuis trois jours avec des ...
    ... chaleurs à plus de 50 au soleil.
    
    30°, pourtant sans qu’elle ne me touche plus que ce contact je bande comme je bandais dans notre chambre.
    
    Quand dans un mouvement de son bassin s’aidant de ses bras elle s’empale sur ma verge, une pensée pour celle qui dort à quelques mètres de moi et que je trompe sans l’avoir prémédité simplement par l’appel de la fraicheur de l’eau.
    
    Je place mes mains sous ses fesses elles aussi très fermes et la soulevant pour la faire retomber, j’entends dans ma bouche le plaisir qui monte en elle.
    
    J’étais en manque n’ayant pas réveillé celle à qui je fais porter des cornes.
    
    Mon sperme gicle en elle au moment où son orgasme transperce ma bouche.
    
    J’ai peur que nous n'ayons réveillé ma douce.
    
    Une nouvelle fois, je culpabilise, en pensant « ma douce ».
    
    Une douce ne se trompe pas, mais le mal est fait il va falloir que j’assume.
    
    Nous nageons, pardon, nous barbotons la chaleur malgré la nuit étant toujours là.
    
    - Christian ou es-tu ?
    
    Merde Sandra, elle me cherche.
    
    - Marie cache-toi le long du bord que ma femme ne te voit pas.
    
    Elle le fait c’est sympa, elle aurait pu dire que nous étions là me mettant dans un grand embarras.
    
    - Je suis là ma douce il faisait chaud, je suis venu profiter de la piscine de nos voisins.
    
    - Tu es fou, s’ils appellent la police.
    
    - On s’excusera, viens me rejoindre l’eau est divine dans cette lourdeur de la nuit.
    
    - Par où es-tu passé, il n’y a pas de porte.
    
    C’est là que je m’aperçois grâce ...