1. Un anniversaire de mariage pas comme les autres


    Datte: 12/11/2018, Catégories: fhh, fplusag, jeunes, couleurs, extracon, inconnu, boitenuit, anniversai, vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, intermast, jeu, Auteur: Phil, Source: Revebebe

    ... ménagement il remplit mon ventre. Un « Oh » de surprise s’échappa de ma bouche.
    
    — Oh oui, qu’est ce qu’elle est grosse, c’est trop bon, vas-y mon beau black, défonce-moi ma chatte de salope !
    — Putain t’es trop bonne, c’est plus une chatte que tu as c’est une fournaise et un marécage… t’es bien serrée en plus, comme ça tu dois bien la sentir te ramoner, t’aimes ça, hein, t’aimes ça ?
    — Oui j’adore c’est trop bon, baise-moi comme une chienne.
    
    Il me pistonnait avec fougue, mon cul et mon ventre semblaient faire des bonds à chaque cognée de son gland au plus profond de mon vagin. C’était délicieux et fort, tendre et animal à la fois, complice et pornographique. Tout mon corps semblait possédé par cette virilité démoniaque et s’empalait avec frénésie sur elle, lui ouvrant en grand les portes de mon intimité, réclamant la possession la plus totale et la plus bestiale.
    
    — Oui Mamadou, continue, qu’est ce que t’es gros et dur, ne t’arrête pas… c’est trop bon, je sens que je vais jouir, oui… bourre-moi à fond, je vais venir, regarde bien mon visage de salope quand tu vas me faire jouir… oui ça vient… ah…
    — Moi aussi je vais bientôt gicler… oui… continue à remuer ton cul Céline…
    
    Je jouissais comme ne n’avais encore jamais joui, tout mon corps étant pris de convulsions, tant le plaisir que je sentais monter insidieusement, avait d’un coup pris possession de tous les pores de ma peau, envahi toutes mes zones érogènes et s’était déversé dans tous mes sens avec force et ...
    ... rapidité. Je me sentais vidée mais heureuse. Je ne remarquai même pas que Mamadou se retirait promptement de ma chatte (il avait pourtant laissé ma chatte bien béante et inoccupée, mais j’avais encore l’impression qu’elle était remplie de sa virilité), enlevait à la hâte le capuchon de plastique, avant de poser son gland à l’orée de ma bouche entrouverte comme à chaque fois que je jouis. Mais il m’avait trop bien baisée pour que je lui refuse ce dernier plaisir. Dans un semi-réveil, mes lèvres aspirèrent son gland, mes yeux clignèrent pour lui signifier mon acceptation et il se déversa avec un râle dans ma gorge profonde. Les premières giclées cognèrent contre mon palais, le sperme coulait lentement et je l’avalais. J’eus à peine le temps de déglutir qu’un second jet m’aspergeait. J’étais comme assommée, sans plus de forces. Mes lèvres se décrispèrent ; il retira sa queue, laissant avec elle un mince filet de sperme ruisseler à la commissure de ma bouche et tâcher le tissu du canapé.
    
    Mamadou et Gregory picorèrent alors ma peau nue de multiples petits baisers, comme autant d’offrandes aux plaisirs que nous avions partagés. Leurs doigts caressaient tendrement ma peau. Je me retournai sur le dos sans aucune gêne et leur souris. Ma chatte était repue ; elle palpitait encore des expériences qu’elle avait vécues mais elle avait surtout besoin et envie de tranquillité et de sommeil. Mes mains empaumèrent leurs sexes courbés. Faisant quelques petits allers-retours sur leurs hampes, je ...