Un anniversaire de mariage pas comme les autres
Datte: 12/11/2018,
Catégories:
fhh,
fplusag,
jeunes,
couleurs,
extracon,
inconnu,
boitenuit,
anniversai,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
strip,
intermast,
jeu,
Auteur: Phil, Source: Revebebe
... vos langues mon petit œillet en dessert !
Avant de m’obéir, chacun, en guise de remerciement ou de tendresse, ou un conjugué des deux, se pencha vers moi pour m’embrasser. Les grosses lèvres pulpeuses de Mamadou prirent possession des miennes et sa langue aspira la mienne. Je connaissais déjà le goût de sa bouche, mais le baiser de Gregory m’était encore inconnu ! Un comble sachant que j’avais déjà pompé sa bite et goûté à son sperme. Il fut très langoureux, profond et raffiné, me caressant le visage et me massant le haut des tempes pendant qu’il me roulait une pelle de cinéma.
— Merci les garçons… au travail maintenant !
Gregory se mit à genoux au bord du lit et plongea immédiatement son visage dans ma raie, remontant vers mes zones érogènes. Mamadou se coucha tête-bêche à mes côtés, grignota quelques instants mes petites pommes, puis son visage s’empara lui aussi des mets succulents que je leur offrais. La sensation était unique : pendant qu’une langue dessinait des spirales sur ma rondelle presque vierge, l’autre lapait ma fente dégoulinante. Puis je sentis deux doigts s’engouffrer dans ma vulve ; comme ils tournoyaient chacun dans un sens différent j’en conclus que ses salauds m’en avaient mis chacun un ! J’étais dans un état d’excitation sans précédent. Je lançai ma main à la reconnaissance du corps de Mamadou : je frôlai d’abord son ventre aux muscles saillants et je sentais son gourdin cogner mon poignet à chaque oscillation. Voilà, j’avais trouvé la route ...
... qui menait à ce que je cherchais. Il me suffisait de suivre la hampe pour recueillir dans ma paume ses lourdes bourses velues que je rêvais de tripoter. Oui, elles étaient là comme je les imaginais, écrasant ma main de leur poids. Je les fis rouler, puis n’y tenant plus, je tournai et avançai mon visage vers elles pour les couvrir de mes lèvres et les envelopper de ma langue. Mon beau black gémit de plaisir sous mon attaque surprise ; il redoubla d’ardeur à aspirer mon bouton d’amour.
— Oh, elle me bouffe les couilles, c’est trop bon, elle a une bouche, on dirait une mante religieuse, elle va me les vider juste en les léchant !
Je le mangeai avec voracité, le nez enfoui dans ses poils drus, respirant son parfum musqué de mâle, mes ongles enfoncés dans ses muscles fessiers, mes lèvres gourmandes le dévorant comme une ex-anorexique de sexe découvrant la boulimie de la luxure et de la dépravation. Je n’en pouvais plus, mon ventre réclamait quelque chose de dur en son sein. Entre deux soupirs, je parvins à articuler :
— Je n’en peux plus, ma chatte veut de la queue, baisez-moi !
— Avec plaisir, je n’attends que ça depuis que je t’ai repérée au Centaure, quand tu étais assise au bar sur ton tabouret haut, ton beau cul cambré qui me faisait bander, ton beau visage aux aguets comme un fauve cherchant sa proie, ton petit air de bourgeoise un peu coincée que j’espérais délurée, j’avais envie de te baiser, rétorqua Greg, mais qui commence ?
Je souris et lui répondis :
— ...