Une tranche de vie 17
Datte: 11/11/2018,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Maceron, Source: Hds
Mardi 15 septembre 1981 - AL raconte
Comme d’habitude Jean devait venir déjeuner, il m’a fait prévenir par son chauffeur qu’il serait légèrement en retard et qu’il serait ici vers 13,00 de façon à arriver avant B. qui doit venir aujourd’hui vers 14,00 h, comme cela été convenu. Je m’étais habillée comme la dernière fois de ma robe saharienne beige claire, au boutonnage de bas en haut, le corsage ajusté et la jupe au-dessus du genoux et en dessous comme la dernière fois j’étais nue à l’exception d’un porte-jarretelle tendant mes bas. Le décolleté était fermé par un bouton au niveau des seins, un de plus déboutonné et mes seins sortaient de leur niche. Quant au bas le premier bouton fermé était juste en dessous du haut des bas. Mais out ça faisait que Jean n’était toujours pas là et je commençais à angoisser sérieusement de les voir arriver tous les 2 en même temps. J’avis quand même mis des livres d’allemand sur la table, mais, … Puis B arriva pratiquement à l’heure, … Je me levais pour l’accueillir. Il me prit la main et la retournant m’embrassa dans la paume avec un léger coup de langue. Détail auquel je ne m’attendais pas, qui me surprit et déclencha un léger frisson et je l’invitais à s’assoir pour le café que j’avais préparé en attendant. Alors que je servais le café B. me dit « tu sembles nerveuse, … tu as des soucis » - » Non, rien de bien spécial »
Je me rendis compte qu’effectivement, je me sentais nerveuse, que j’étais nerveuse. Je m’inquiétais de voir arriver ...
... Jean le sourire aux lèvres en disant : « Tiens cher ami, vous ici, content de vous voir, … » et de blagasser. Etant incapable de deviner ce qu’il ferait. J’espère qu’il ne me ferait pas le coup du constat d’adultère ou autre vacherie. Pour l’instant il me fallait éviter que B s’aperçoive de quoi que ce soit et que je puisse réfléchir à la suite. Discrètement j’augmentais mon décolleté d’un bouton, ce qui, quand je me baissais pour verser le café devait attirer son regard et lui éviter de réfléchir. Ce qui fut le cas, et il me dit, « Tu as des seins merveilleux, tu devrais les libérer d’un bouton et les laisser vivre leur vie et viens t’asseoir à coté de moi sur le sofa ». Je ne pouvais rien faire d’autre et c’est ce que je fis. En m’installant ma jupe s’ouvrit largement en découvrant le haut de mes bas. Ayant à peine touché au café, il m’enlevant ma tasse, la posa à même le sol et sans autre préliminaire me bascula sur le sofa, de façon à s’installer entre mes cuisses et se diriger vers mon intimité, qui malgré mon inquiétude commençait à mouiller. Je le laissais se faire et me faire plaisir et sentant la pression monter chez mon amant, je décidais qu’il fallait changer de lieu, de plus, ne sachant ce que manigançait Jean, je en me voyais pas le voir arriver, moi dans cette posture.
« Viens, on va dans la chambre, on sera plus confortable et au frais ». Sans discuter il me suivit . Arrivé dans la chambre, il déboutonne tous les boutons et m’enlève ma robe qu’il balance sur ...