1. Découverte


    Datte: 10/11/2018, Catégories: f, fh, jeunes, inconnu, boitenuit, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, fgode, jouet, sm, donjon, attache, BDSM / Fétichisme bougie, fouetfesse, init, Auteur: Myhrisse, Source: Revebebe

    Elles n’avaient qu’une envie : faire la fête. Normal quand on a vingt ans. Seul problème : où se trouvaient les boîtes de nuit ? Perdues dans l’immensité de Paris, les deux jeunes femmes échangeaient des regards désespérés.
    
    Elles marchèrent au hasard des rues, peu convaincues par ce qu’elles voyaient, peu attirés par les lieux, pourtant nombreux, ouverts de ci de là.
    
    Parfois, elles suivaient un groupe de personnes enjouées, souvent bourrées mais les endroits ainsi découverts ne les attiraient pas. Elles auraient pu faire une recherche sur leur smartphones, mais la réponse du Dieu Internet ne les intéressait pas. Elles voulaient trouver la perle rare, celle connue seulement de quelques privilégiés.
    
    Affamées, elles se tournèrent vers un restaurant plein de monde. Le repas fut moyen mais pas dépourvu d’intérêt. Un groupe avait attiré leur attention. Ils discutaient sans se préoccuper des autres clients. Ils ne semblaient pas former un groupe soudé, comme si certains venaient de se rencontrer, et pourtant un lien existait entre eux et les rapprochait. De plus, ils ne cessaient de discuter avec sourire de l’after, cet endroit où ils comptaient se retrouver ensuite pour s’amuser.
    
    Les deux jeunes femmes en étaient convaincues : la perle rare était là. Elles partirent en même temps qu’eux et les suivirent à distance. Elles constatèrent, ravies, que le groupe avançait à pied vers son objectif. Ils ne prirent même pas le métro. Après quelques minutes de marche, le groupe ...
    ... s’arrêta devant une porte, frappa, puis ils entrèrent un par un. Les deux jeunes femmes attendirent une bonne demi-heure avant de s’avancer à leur tour. Pendant tout ce temps, elles avaient pu constater que la rue était déserte, silencieuse et que personne d’autre n’était entré.
    
    Elles craignirent un instant qu’il s’agisse d’un club privé où elles ne pourraient pas entrer. Elles s’approchèrent de la porte. Une simple inscription annonçait le nom de l’endroit, sans plus de description. Elles frappèrent ensemble en se lançant un regard mutin. Elles aimaient vivre dangereusement ; et puis, il n’y avait pas vraiment de risque à simplement frapper à une porte. Le battant s’ouvrit pour dévoiler un couloir sombre menant à une petite antichambre devant un comptoir où un homme attendait. Derrière lui, des cintres maintenaient de nombreux manteaux.
    
    Cela rassura les deux jeunes femmes. Le vestiaire permettait de se délester avant d’aller danser en bas, d’où provenait de la musique. Elles s’avancèrent vers le comptoir, la carte bleue en main. L’homme leur désigna un panneau avant de préciser :
    
    — C’est gratuit pour les femmes seules.
    
    Elles observèrent l’écriteau. Les couples payaient un prix raisonnable, et les hommes seuls, un bras. Elles sourirent, ravies de pouvoir entrer sans rien payer.
    
    — Les consommations sont payantes.
    
    Elles hochèrent la tête. Cela, elles s’y attendaient. Elles se dirigèrent vers l’escalier.
    
    — Vous ne voulez pas vous changer ? lança l’homme au ...
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