Le motard
Datte: 10/11/2018,
Catégories:
hh,
hplusag,
inconnu,
hsoumis,
hdomine,
hdanus,
hsodo,
sm,
fouetfesse,
init,
Auteur: Edouardo, Source: Revebebe
... déjà t’estimer heureux de jouir du cul sale pute !
Me plaquant contre le mur, il m’attrape les mains derrière le dos et m’encule de plus belle. Il fait de moi ce qu’il veut, je suis sa chose, son objet sexuel, sa salope, sa putain.
— Mets-toi à quatre pattes, sale chienne ! Monte sur la table !
En bon toutou j’obéis et rampe jusqu’à la petite table. Docile et totalement soumis, je cambre bien les reins et lui offre ma croupe, prêt à me faire défoncer encore par ce motard infatigable.
— C’est pour t’être branlé sans permission…
Et là, surprise, je reçois une volée de claques sur les fesses. Lorsqu’il estime qu’elles sont suffisamment rouges à son goût, il se saisit du tube de gel et en remet une bonne dose directement dans mon petit trou accueillant.
— J’espère que tu en veux encore parce que je vais encore te défoncer le cul !
— Oui ! Mets-la-moi encore… Baise-moi comme une salope…
Il vient à nouveau se placer derrière moi, son gland contre mon anus, m’attrape les hanches et se remet à m’enculer furieusement.
— Quelle chienne ! Je pourrais te bourrer toute la nuit et tu me supplierais de te la remettre encore !
— Oh oui… encore… J’aime sentir mon cul rempli par une grosse bite…
— Quelle salope ! La prochaine fois je ...
... viendrai avec un ami et on te baisera à deux !
— Mmmm… je vous sucerai et vous m’enculerez à tour de rôle…
— Tu seras notre vide-couilles !
— Oui tout ce que tu veux…mais baise-moi à fond…
— Quelle pute ! Je vais te déchirer le fion !
Il monte à son tour sur la table basse et s’appuyant sur mon dos, se remet à me défoncer le cul. Ses coups de reins sont puissants et rapides, je me fais littéralement saillir par mon motard. Je suis sa chienne et il me baise comme telle. Il m’insulte et me traite de tous les noms. Je suis en plein délire, excité comme jamais, au comble du plaisir, je ne suis plus qu’un trou qu’il remplit de sa bite, la jouissance me submerge, je râle, je jouis du cul, encore et encore.
Et lui, au bord de l’orgasme, m’agrippe fermement par les épaules et crie sa jouissance en remplissant sa capote :
— Haaaa… la bonne salope !
Je m’affale haletant sur la table basse et, lui sur moi, on reste un moment sans bouger. Je ne sais plus combien de fois il m’a fait jouir du cul. Mon motard est un champion d’endurance.
— Putain, j’ai bien baisé.
Il se relève et retire son préservatif qu’il lâche sur mon dos. Il se rhabille en silence, puis sort, me laissant affalé sur la table basse, l’anus béant. Je ne l’ai jamais revu.