1. C'est de la balle !


    Datte: 10/11/2018, Catégories: f, Masturbation jouet, Humour Auteur: @+ch0uM, Source: Revebebe

    ... sourdement, sans pouvoir s’arrêter…
    
    Avide, elle agitait frénétiquement la balle de caoutchouc contre ses lèvres gorgées de sang, une balle quasi-vivante qui semblait vouloir forcer l’entrée de son antre du plaisir, qui le déformait, l’ouvrait…
    
    Des deux mains, elle tirait, appuyait, poussait, elle soupirait, haletait, couinait…
    
    Elle était en sueur. Ses aisselles diffusaient à profusion les effluves si caractéristiques de son plaisir, pour venir renforcer encore la puissance de ses orgasmes à répétition. Ses hanches, mues par une force inconnue, tanguaient et roulaient sans aucun contrôle, ses fesses s’étaient soulevées d’elles-même, elle n’était plus qu’une marionnette emportée par les torrents d’endorphine qui déferlaient sur elle…
    
    Arquée, cambrée, Azénor était maintenant agitée de violents soubresauts incessants ; elle était entrée dans une résonance délicieuse.
    
    Plus fort… Encore…
    
    La jouissance la pliait, la déchirait, la mettait en pièces, elle ne contrôlait plus rien, seul comptait son plaisir, là, maintenant…
    
    C’est tout juste si elle avait senti ce long jet clair jaillir pour la première fois de safontaine aux plaisirs, couler contre sa paume et dégoutter de ses doigts fins sur le drap-housse…
    
    Azénor se sentait liquide, liquéfiée, son souffle s’était transformé en ahanement rauque…
    
    Soudain… Plop ! La balle était entrée, aspirée toute entière en Azénor, dévorée d’une seule bouchée par safleur carnivore. Une vague scélérate, gigantesque, la ...
    ... submergea, l’emporta, l’acheva : elle s’écroula sur le lit, pantelante, heureuse, encore frissonnante des répliques du séisme ravageur qui venait de l’effondrer.
    
    Azénor resta ainsi de longues minutes, allongée au milieu de sa couche froissée ; elle continuait à masser doucement son intimité, gonflée de son nouvel objet de plaisir, au milieu d’une large tache humide au centre de son lit.
    
    Au bout de quelques minutes, bien que fort peu remise de tous ces torrents d’émotions excessives, Azénor se redressa sur ses coudes.
    
    Cependant la balle, restée en son giron, se rappela à elle une nouvelle fois : une décharge intense tout le long du dos la vrilla, la tétanisa, la projeta en arrière dans le tas d’oreillers, comme électrisée.
    
    Jambes écartées, les bras en croix, elle était maintenant soucieuse : cette balle, qui lui avait procuré tant de bien-être, la déchirait vaguement et, reprenant lentement conscience, elle se sentait désormais un peu tiraillée à l’entrejambe, au point que ça en devenait plutôt douloureux.
    
    Azénor avança la main gauche vers son pubis duveteux pour évaluer la position exacte de la balle dans son intimité en tendant l’index à l’entrée son vagin, refermée en bidoigt sur le jouet englouti : deux, peut-être trois centimètres à l’intérieur…
    
    Quelle conne ! Comment je vais enlever ça, maintenant ?!?
    
    Avec beaucoup d’efforts, et réfrénant avec difficulté autant de nombreux déferlements sensoriels qui s’abattaient sur elle à chaque mouvement de la balle ...