1. Dentelles et Troubadours


    Datte: 09/11/2018, Catégories: fh, Collègues / Travail amour, BDSM / Fétichisme entreseins, Oral pénétratio, Humour policier, Auteur: Radagast, Source: Revebebe

    ... Jusqu’à maintenant il n’a pas tué, je pense que ça l’énerve et qu’il va repasser à l’acte bientôt, je crains qu’il ne tue vraiment.
    
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    Ludovic avertit son chef et ami.
    
    — L’ordinateur et le téléphone de ta copine ont été piratés. Lucien y a trouvé un logiciel espion.
    — La vache, il n’a rien laissé au hasard.
    — Au fait, qu’a dit la psy ?
    — Comme tous les psys, rien !
    
    Héloïse ne restait jamais seule, elle était toujours entourée de policières ou accompagnée de Valentin. Celui-ci guérissait à vue d’œil. Il ne se passait pas une heure sans qu’une des fliquettes vienne lui faire son rapport, en petite tenue de travail.
    
    Au début, il éprouvait des difficultés à se concentrer, à ne pas bégayer, il sursautait à chaque nouvelle apparition. Il se demandait si elles ne s’amusaient pas à ses dépens, entouré qu’il était de nichons et de fesses.
    
    Seule séquelle de sa maladie, sa patronne. Voir Michelle Mabel en porte-jarretelles, petite culotte et soutien-gorge à longueur de journée lui donnait des vapeurs.
    
    Surtout lorsque ces dessous presque transparents laissaient voir les tétons, une toison ou la raie des fesses.
    
    Au terme de la première semaine, il appréciait tout de même la situation, se renseignant sur les noms des vêtements portés.
    
    Il goûtait les différences entre un slip brésilien, un shorty, une culotte classique, dissertait de la texture d’une guêpière, d’un body, ou des différents types de soutiens-gorges. Les policières lui demandaient ...
    ... même son avis, il était passé maître en accord de couleur de sous-vêtements et carnation. Même une paire de fesses joliment séparées par une ficelle de string ne le perturbait plus.
    
    Les tissus n’avaient plus de secrets pour lui, tulle, crêpe, coton, satin.
    
    Nombre d’entre elles expliquèrent détester les bas autofixants qui laissaient de disgracieuses marques sur le haut des cuisses.
    
    ~o~~o~~o~~o~
    
    — Refais-le encore une fois.
    
    Valentin, allongé sur le dos recevait les caresses d’Héloïse. Celle-ci passait son doigt sur le corps de son amant, en partant du front jusqu’aux burettes, puis revenait par le même chemin. Évidemment, le mandrin du mâle se dressait tel l’obélisque de Louksor.
    
    — Je n’en reviens pas qu’une femme puisse me faire ça sans que je tourne de l’œil.
    — Tu es presque guéri. Montre-moi si tu sais faire la même chose à une femme.
    
    Sans se faire prier, il caressa le nez, les lèvres, la poitrine, s’arrêtant sur chaque téton, puis vint enfouir ses doigts dans la douce toison, frôler les lèvres gorgées de rosée.
    
    — Maintenant, il faut continuer ton traitement.
    
    Il se glissa sur sa compagne, et dans le même mouvement la pénétra. Elle lui facilita la tâche en ouvrant bien les jambes et guidant d’une main habile le grand mât. Enfoncé jusque la garde dans le ventre accueillant, V-d-V regardait sa douce qui venait de nouer les jambes autour de sa taille.
    
    — Si un jour on m’avait dit que je deviendrais psychothérapeute.
    — Si un jour on m’avait dit que ...
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