Anniversaire surprise de Pierre (1)
Datte: 09/11/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: letiche, Source: Xstory
... quelque chose. Je ne peux voir, mais je me dis qu’elle va installer le paquet cadeau. Le bruit étouffé de ses pas revenant vers moi. Elle est à nouveau dans mon dos. Ses mains caressent mon torse, passe sur mes épaules, elle descend sur mes bras. Elle en amène un vers l’arrière du dos.
Je sens un bruit métallique se refermant sur mon poignet. Et à une vitesse inattendue, elle saisit l’autre bras pour fermer la seconde pince de ce qui semble être des menottes.
— Enlève-moi ça.
— Non.
— Tu ne m’amuses pas, je n’apprécie pas.
— Chut, tu vas aggraver ton cas.
— Salope, retire-moi ça !
Prenant les menottes par la chaîne, elle appuie sur celle-ci vers le bas. Le métal froid mord la chair de mes poignets. Je suis obligé de plier les genoux si je ne veux pas qu’elle me casse un poignet. Elle continue de pousser, jusqu’au moment où je me retrouve à genou.
— Ecoute-moi bien, petite fiotte, c’est ton anniversaire, tu ne veux pas gâcher cette fête ?
— Non, mais libère-moi.
— Tu n’as pas compris, tu vas avoir une superbe fête, tu vas être le héros du jour.
Je l’entends s’éloigner. Elle cherche quelque chose dans le sac. Au bruit, je comprends qu’elle déballe plusieurs paquets. Mais je n’ai aucune idée ...
... de ce dont il peut s’agir. Bien que je m’en doute, vu la situation dans laquelle je me trouve. Elle se déplace, elle semble se diriger vers la table. Oui, c’est cela, elle dépose des choses sur celle-ci. C’est fou lorsqu’on est privé d’un sens, comme l’on peut être beaucoup plus réceptif.
J’étais angoissé, et excité à la fois de la situation. Son comportement et le ton de sa voix auquel je n’étais pas habitué. Le fait d’être entravé et aveugle me stimulait, un début d’érection pointait et il m’était difficile de le cacher, nu comme un ver.
— Mais il bande, cette fiotte a une érection. Sale petit porc, je vais te mater moi !
Je vais t’offrir le reste de tes cadeaux, ensuite, je me préparerais pour le bouquet final.
Tu verras, petite pétasse, j’ai renouvelé ma garde-robe.
J’allais ouvrir la bouche pour répondre, mais n’en eut pas le temps. Sophie venait de me gifler.
— Silence, tu parleras lorsque je t’y autoriserai et tu finiras toutes tes phrases par Maitresse.
— Oui, Sophie.
Une nouvelle gifle, sur l’autre joue.
— Porc, pour toi, c’est Maitresse.
— Oui, Maitresse.
— Tu vois ce n’est pas si difficile, pétasse.
— Oui, Maitresse.
Mon Dieu que m’arrive-t-il et que va-t-il m’arriver.......