1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (14)


    Datte: 10/02/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Bruce75, Source: Xstory

    ... fois il ne faut pas être impatient. Tu dois lui faire des câlins, beaucoup de câlins et parle lui doucement.
    
    — Mais monsieur, je vais l’embrasser et ensuite…
    
    — Non… D’abord tu lui caresses les seins par exemple et ensuite l’intérieur des cuisses. Tu as vu comment je faisais à Genève.
    
    — Oui bien sûr mais j’ai peur d’être trop rapide.
    
    — Tu n’écoutes pas mon fils ce que te dis Patrick ! S’indigna monsieur Zusu.
    
    — Monsieur Zusu, Ken a peur et c’est bien normal.
    
    — Ken est mon fils, il n’a pas peur. Me rétorqua-t-il.
    
    — D’accord mais Ken, reste doux et couvre-la de baisers entre les jambes, elle appréciera.
    
    — Je peux lui faire des baisers sur son sexe comme vous ?
    
    — Oui…
    
    — Et je n’ai pas besoin de me protéger ?
    
    — Non elle est d’accord parce que tu es vierge. Répondis-je à la place de l’intéressée.
    
    — Oh merci, merci beaucoup Monsieur.
    
    — Ca n’est pas moi qu’il faut remercier.
    
    Zusu me regardait avec un visage sévère, agacé des réponses ou des questions naïves de son fils. Face à sévérité, j’osais lui faire un clin d’œil pour lui signifier que cela se passerait bien. En pur japonais, il inclina légèrement sa tête pour me remercier de ma compréhension ainsi que de l’absence de protection, puis il jugea bon d’envoyer Ken rejoindre Véronique. Zusu junior quitta la pièce d’un pas lent, me donnant l’impression d’aller à l’abattoir.
    
    Monsieur Zusu me posait quelques questions par pure politesses sur mes études mais son attitude m’indiquait qu’il ...
    ... était ailleurs. Certes il était petit mais il dégageait un charisme indéniable à sa façon de parler et dans sa manière de jouer avec la langue française. Ce ne fut qu’au bout d’un quart d’heure qu’il m’avoua que sa femme décédée était une française, grande, blonde et il fut vain de poursuivre la description correspondant à celle qui était avec son fils. Il vida sa flûte en toute décontraction et il ajouta d’un ton étonnant.
    
    — Que font donc nos tourteaux ? Vous m’accompagnez Patrick ?
    
    — Volontiers. Répondis-je sans comprendre mais avide de savoir.
    
    — Et ce que vous allez voir, vous ne le dites à personne, même pas à votre tante. Dit-il en se retournant.
    
    Pas à pas Zusu monta les escaliers et emprunta une porte dérobée. Nous nous retrouvions dans une petite pièce sombre avec une ouverture de deux mètres de large sur environ un mètre cinquante de haut. Stupeur mêlée de voyeurisme m’emportèrent dans la foulée et Zusu me conseilla de prendre place. Nous étions installés côte à côte et avions vu sur la chambre dans laquelle Ken proposait à Véronique un rafraîchissement pour faire connaissance.
    
    — C’est une glace sans tain ? Lui demandai-je.
    
    — Oui et nous pouvons les écouter mais eux ne nous entendent pas. Mettez-vous à votre aise et voyons comment mon fils se débrouille avec votre charmante tante.
    
    — Ken est au courant ?
    
    — Timide comme il est, certainement pas ! J’espère que Véronique va le dévergonder depuis le temps.
    
    Tandis que Zusu me faisait des confidences, ...
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