Alain . . . (7) - Histoires de Sexe

Alain . . . (7)

... j’ai confiance en elle, puis elle est si excitante. Devant ses seins et ses fesses, personne ne peut rester sans bander.

Je n’en reviens pas de mes oreilles. David qui se permet de dire de telles choses sur moi ! Il se lâche vraiment.

Je vais dans la salle de bain me laver la poitrine, et reviens rejoindre ces deux hommes qui, je le pense, sont aussi vicieux l’un que l’autre. Il y a le jeune initié et le vieil initiateur.

— Nathalie, remets en route David avec ta jolie bouche pendant que je te lèche.

Je me tourne vers David, nous nous embrassons langoureusement, et descends doucement vers son sexe en lui léchant au passage les tétons, le ventre. Une fois son sexe en bouche, je sens la langue d’Alain fouiller ma chatte délicieusement. Quel plaisir cette langue !

Une langue qui me fouille, qui s’aventure à titiller mon petit trou, pendant que la bite du jeune gonfle dans ma bouche. Ne suis-je pas une femme heureuse ?

— Montre-moi ton cul petite salope que je te prenne pendant que tu suces David.

Je mets mes fesses en l’air, à disposition de mon vicieux.

— Hum... Elle est déjà toute mouillée cette pute ! Ça va David, elle te suce bien ?

— Hum... C’est une bonne suceuse oui.

— Ne te gène pas alors, profite de cette bouche qui est à ta disposition.

— C’est bien ce que je fais.

Mais je rêve là ? ! David se dévergonde de minute en minute, j’ai l’impression. Il prend ses aises ! Je ne dis rien, Alain me besogne, David se fait pomper, la vie est ...

... belle.

— Dis-moi Nathalie, ça te dit que je te prenne le cul ?

Je lâche le sexe du petit jeune.

— Heu... Tu veux me sodomiser ?

— Oui, je n’ai jamais goûté à ton cul.

— Vas-y doucement, je ne suis pas prête.

— Ne t’inquiète pas, je vais être doux et j’ai du lubrifiant.

— Doucement alors.

— Oui, doucement. As-tu déjà vu une femme se faire enculer David ?

— A part dans les films pornos, mais sinon, en vrai, non, jamais.

— Alors regarde bien un beau cul se faire prendre.

Je sens ses doigts enduire mon anus, j’imagine qu’il étale aussi du lubrifiant sur son gland, et, juste à l’entrée, il pousse. Je ne suis pas ouverte, alors je relève un peu mes fesses, me détends, le gland passe sans trop de difficultés.

— Viens voir David.

David se place derrière moi à côté d’Alain. Je ne les vois plus, puisque ma tête est posée sur le dessus-de-lit, les fesses à l’air. Mais j’entends les commentaires.

— Regarde ce cul bien bandant. Tu vois, vu la facilité que j’arrive à mettre ma bite, je vois tout de suite que je ne suis pas le premier à l’enculer cette putain. N’est-ce pas ma chérie ?

— Non, tu as raison. (Dis-je en gémissant.)

— Tu vois bien ! Ton mari t’encule souvent ?

— Oui, ça lui arrive. (Toujours en gémissant).

— Tu vois David, ma bite est pratiquement entièrement entrée, et elle ne bronche même pas cette salope. Quel cul !

— Oui, je vois que Nathalie est une grande coquine.

Je ne peux pas trop répondre, je me concentre de ...