1. Mélissa, ma jolie jeune black soumise. (9)


    Datte: 09/11/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: tomy83, Source: Xstory

    ... prive pas. Il lui malaxe ses mamelles et lui tire ses piercings. Il est à quatre pattes, face à Mélissa et ils s’embrassent comme des fous. Li et Gégé sont allongées sous mon pote et lui taillent une pipe des plus humides. Je me mets à la hussarde et enfourne ma Mélissa comme un fou. Je sens mon jus bouillir dans mes couilles, mais je résiste. Pierrot ne tient pas longtemps à ses deux furies et c’est dans un râle profond qu’il jouit sur leur gueule. Elles ne sont pas rassasiées, elles jouent avec la laitance de mon Pierrot qui s’est effondré sur ses avant-bras.
    
    Moi, je lime comme un chien fou la chatte de Mélissa. Elle jouit en gueulant mon prénom.
    
    — VAS-Y JEAN, EXPLOSE-MOI MA CHATTE... OUI, J’AI ENVIE QUE TU ME PERFORES...
    
    À ces mots, je lui réponds :
    
    — OUI, GROSSE PUTE. PRENDS CA ET CAAAAA.
    
    Je lui lâche une dose incroyable. Ma bite palpite sous l’effet des éjaculations. Je me retire et tombe en arrière sur le cul. Pierrot éclate de rire. Li et Gégé aussi.
    
    — Tavernier, une bière où je tue le clébard. Dis-je en me relevant péniblement.
    
    Li se presse pour me servir avant d’aller rejoindre Gégé qui aide Mél à se relever. Elles partent à la douche.
    
    — Dis-moi, fis-je à Pierrot, ta fille résiste bien aux coups et pourtant elle a le dos en sang.
    
    — Bin, c’est-à-dire que je n’ai pas été tendre avec elle quand elle est revenue de chez mes parents. J’étais furax. J’ai dû revenir de Guyane. T’imagines ? Rappelé par mon chef de corps ? L’humiliation totale. Je ...
    ... l’ai frappé et plus je frappais, plus elle en redemandait. Le bourreau qui sommeillait en moi s’était réveillé.
    
    — Ne m’en dis pas plus. C’est ta vie, lui dis-je en rigolant, cela ne me regarde pas.
    
    Les filles, une fois rhabillées, viennent trinquer avec nous. Il est temps de nous séparer.
    
    Le retour chez moi est des plus silencieux. Elle rentre dans sa chambre, se déshabille et s’endort immédiatement. Je regarde, j’admire ce corps. Elle est belle, allongée sur son dos, cuisses écartées, bras en croix, poitrine offerte et sa bouche entrouverte, j’en bande. Mais je réalise l’heure qu’il est et pars me coucher.
    
    Mon réveil est accompagné d’une douce... Odeur de café. Je m’extirpe de mon lit. Douche, rasage et descente à la cuisine. Elle est là, affairée à beurrer des morceaux de baguettes sur un plateau. Elle est nue, tout comme moi.
    
    — Bonjour Mélissa...
    
    Elle sursaute et prend une mine boudeuse.
    
    — Jean, tu m’as fait peur...
    
    — Et ?
    
    — Je t’ai préparé un petit-déj au lit. Fit-elle d’une voix boudeuse.
    
    — Quand il fait beau, je prends toujours mon petit-déjeuner sur la terrasse. Dis-je en ouvrant la porte-fenêtre. Tu seras punie.
    
    — Une punition comme hier soir, je veux bien.
    
    — Cochonne !
    
    — Ta grosse cochonne.
    
    Elle se pend à mon cou et m’embrasse. Que c’est bon. Ma queue se redresse et se bloque contre son ventre. Elle sourit tout en m’embrassant. Je la repousse tendrement et vais sur la table d’extérieur.
    
    Petit-déjeuner pris, elle débarrasse ...
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