Ma femme offerte à mon meilleur ami (2)
Datte: 08/11/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Manouco1280, Source: Xstory
... sous elle. Je savais combien elle pouvait mouiller quand elle était chaude et là, elle semblait plutôt en surchauffe !
Elle s’est relevée, s’est collée contre mon pote, elle lui arrivait sous le menton et ses gifs seins étaient presque à hauteur pour accueillir le sexe bandant de mon pote. Elle se pencha un peu et lui fourra son dard entre ses deux seins aux pointes turgescentes, rouge et grosses comme des framboises. Il s’est mis à aller et venir entre ses seins et à chaque mouvement, je voyais son gros gland violacé surgir d’entre les mamelles luisantes de salive de ma femme. C’était foutrement excitant et si je m’étais écouté, j’aurai branlé ma queue dure comme une barre de métal trempée de ma mouille. L’odeur dans la pièce était enivrante et je sentais l’odeur du sexe et l’odeur du cul de ma femme à 3 mètres. Un bonheur ! Mon pote s’est soudain arrêté, il a embrassé longuement ma femme, la soulève dans ses bras musclés et la porte pour l’allonger sur la table du salon, à à peine 2 mètres de ma cachette.
Il l’a allongée, je l’ai entendue dire « viens me mettre ta grosse queue, je la veux dans ma chatte, là, maintenant » il a pris son gland, a écarté brutalement les cuisses de ma femme et a commencé à faire aller et venir son gros gland sur le sexe trempé de ma femme. Elle coulait comme une fontaine et ses gémissements ne s’arrêtaient plus, « baise-moi mon salaud, enfonce-moi ta grosse queue, viens me défoncer, viens vite mon cochon, je veux te sentir tout au fond » ...
... elle n’arrêtait pas de l’implorer et de gémir en même temps. Mon pote a fait durer le plaisir, il a continué à la caresser avec son gland et a insisté sur le clito de ma femme en la caressant de plus en plus vite.
Ses gémissements ont été crescendo et elle a fini par jouir violemment en éjectant un flot de cyprine sur ses fesses et sur la queue de mon pote. « Baise-moi vite maintenant, j’en peux plus, je t’en prie, baise-moi » là, mon pote ne s’est plus fait prier, sa queue était dressée et dure comme un manche de pioche, son gland était gonflé comme prêt à éclater, on aurait dit une grosse pomme rouge qu’il essayait de faire entrer dans le sexe trempé et béant de ma femme. Il a poussé son gland sur la fente ouverte, une grosse pomme n’aurait pas distendu davantage les lèvres de son con, elle a gémi moitié plaisir moitié douleur, mon pote a enfoncé un peu plus son engin surdimensionné, je voyais les livres de ma femme s’écarter à leur maximum pour essayer de laisser entrer ce monstre, et quand le gland était à moitié entré, elle lui a attrapé les fesses et ayant compris l’invitation et avec un « han « de bûcheron, il s’est enfoncé d’un seul coup dans la chatte trempée de ma femme.
Le salaud a tout entré et s’est arrêté quand ses grosses couilles se sont écrasées sur les fesses de ma petite salope de femme. Elle a hurlé, j’ai cru qu’elle tombait dans les pommes, ses yeux se sont révulsés et pendant un moment, ils ne bougeaient plus du tout. J’ai retenu mon souffle, les ...